Les derniers jours du Pape Léon XIII et le conclave de 1903
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- FormatMulti-format
- ISBN978-2-38469-417-4
- EAN9782384694174
- Date de parution05/06/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurEditions Homme et Litterature
Résumé
Les pages qui suivent, étrangères à toute considération de philosophie historique, ne prétendent qu'à donner une idée exacte et sommaire de certains faits importants sur lesquels n'ont encore été publiés que des récits incomplets ou faux (concernant le pape Léon XIII et son pontificat). Elles ont été écrites par un témoin en plusieurs personnes qui ne craignent aucun démenti parce qu'elles étaient bien placées pour savoir ce qu'elles racontent.
Le pape Léon XIII avait conservé jusqu'à quatre-vingt-treize ans son intelligence lucide, sa mémoire prodigieuse et une volonté de vivre qui soutenait son corps frêle et lui donnait une résistance extraordinaire. Il n'avait pourtant point paru prédestiné à un long pontificat et il était si faible, lors de son élection, que ses parents croyaient qu'il ne passerait pas l'année. On doutait qu'il fût capable d'affronter la longue et fatigante cérémonie du couronnement, on le soumit à une épreuve préparatoire pour se convaincre qu'il pouvait supporter les ornements pontificaux ; et ses proches disaient : « Pourvu qu'il aille jusqu'à la Saint-Pierre et que nous ayons en famille la médaille qui rappellera notre honneur ! » Il célébra vingt-cinq fois la fête de Saint-Pierre, et la réclusion qu'il s'imposa fortifia sa santé, en dépit de tous les pronostics médicaux.
Il commença pourtant par en souffrir terriblement...
Le pape Léon XIII avait conservé jusqu'à quatre-vingt-treize ans son intelligence lucide, sa mémoire prodigieuse et une volonté de vivre qui soutenait son corps frêle et lui donnait une résistance extraordinaire. Il n'avait pourtant point paru prédestiné à un long pontificat et il était si faible, lors de son élection, que ses parents croyaient qu'il ne passerait pas l'année. On doutait qu'il fût capable d'affronter la longue et fatigante cérémonie du couronnement, on le soumit à une épreuve préparatoire pour se convaincre qu'il pouvait supporter les ornements pontificaux ; et ses proches disaient : « Pourvu qu'il aille jusqu'à la Saint-Pierre et que nous ayons en famille la médaille qui rappellera notre honneur ! » Il célébra vingt-cinq fois la fête de Saint-Pierre, et la réclusion qu'il s'imposa fortifia sa santé, en dépit de tous les pronostics médicaux.
Il commença pourtant par en souffrir terriblement...
Les pages qui suivent, étrangères à toute considération de philosophie historique, ne prétendent qu'à donner une idée exacte et sommaire de certains faits importants sur lesquels n'ont encore été publiés que des récits incomplets ou faux (concernant le pape Léon XIII et son pontificat). Elles ont été écrites par un témoin en plusieurs personnes qui ne craignent aucun démenti parce qu'elles étaient bien placées pour savoir ce qu'elles racontent.
Le pape Léon XIII avait conservé jusqu'à quatre-vingt-treize ans son intelligence lucide, sa mémoire prodigieuse et une volonté de vivre qui soutenait son corps frêle et lui donnait une résistance extraordinaire. Il n'avait pourtant point paru prédestiné à un long pontificat et il était si faible, lors de son élection, que ses parents croyaient qu'il ne passerait pas l'année. On doutait qu'il fût capable d'affronter la longue et fatigante cérémonie du couronnement, on le soumit à une épreuve préparatoire pour se convaincre qu'il pouvait supporter les ornements pontificaux ; et ses proches disaient : « Pourvu qu'il aille jusqu'à la Saint-Pierre et que nous ayons en famille la médaille qui rappellera notre honneur ! » Il célébra vingt-cinq fois la fête de Saint-Pierre, et la réclusion qu'il s'imposa fortifia sa santé, en dépit de tous les pronostics médicaux.
Il commença pourtant par en souffrir terriblement...
Le pape Léon XIII avait conservé jusqu'à quatre-vingt-treize ans son intelligence lucide, sa mémoire prodigieuse et une volonté de vivre qui soutenait son corps frêle et lui donnait une résistance extraordinaire. Il n'avait pourtant point paru prédestiné à un long pontificat et il était si faible, lors de son élection, que ses parents croyaient qu'il ne passerait pas l'année. On doutait qu'il fût capable d'affronter la longue et fatigante cérémonie du couronnement, on le soumit à une épreuve préparatoire pour se convaincre qu'il pouvait supporter les ornements pontificaux ; et ses proches disaient : « Pourvu qu'il aille jusqu'à la Saint-Pierre et que nous ayons en famille la médaille qui rappellera notre honneur ! » Il célébra vingt-cinq fois la fête de Saint-Pierre, et la réclusion qu'il s'imposa fortifia sa santé, en dépit de tous les pronostics médicaux.
Il commença pourtant par en souffrir terriblement...