Les Derniers Jours d'un homme de Pascal Dessaint Éditions Rivages Dans une ville sidérurgique du nord, deux voix se répondent à quinze ans d'intervalle. Celle d'un père, Clément, et celle de sa fille, Judith. Clément raconte la mort de sa jeune épouse et l'horreur de l'usine, jusqu'au drame qui va tout faire basculer. Judith, elle, est âgée de dix-huit ans et orpheline. L'usine n'est plus là, mais elle a laissé un terrible héritage : crassiers, pollution des sols et des cours d'eau, maladies, chômage.
Judith se remémore son enfance et, surtout, cherche à comprendre qui était son père et comment il a trouvé la mort. Romancier de l'intime et du réel, Pascal Dessaint évoque le scandale de l'usine Métaleurop qui fut liquidée sans préavis, laissant une région entière dans le désarroi. Entre révolte et compassion, il raconte ce drame écologique et humain symptomatique de nos sociétés. « Dessaint excelle à faire surgir l'indicible des sentiments, attentif au détail, proche de chacun de ses personnages.
» Michel Abescat, Télérama
Les Derniers Jours d'un homme de Pascal Dessaint Éditions Rivages Dans une ville sidérurgique du nord, deux voix se répondent à quinze ans d'intervalle. Celle d'un père, Clément, et celle de sa fille, Judith. Clément raconte la mort de sa jeune épouse et l'horreur de l'usine, jusqu'au drame qui va tout faire basculer. Judith, elle, est âgée de dix-huit ans et orpheline. L'usine n'est plus là, mais elle a laissé un terrible héritage : crassiers, pollution des sols et des cours d'eau, maladies, chômage.
Judith se remémore son enfance et, surtout, cherche à comprendre qui était son père et comment il a trouvé la mort. Romancier de l'intime et du réel, Pascal Dessaint évoque le scandale de l'usine Métaleurop qui fut liquidée sans préavis, laissant une région entière dans le désarroi. Entre révolte et compassion, il raconte ce drame écologique et humain symptomatique de nos sociétés. « Dessaint excelle à faire surgir l'indicible des sentiments, attentif au détail, proche de chacun de ses personnages.
» Michel Abescat, Télérama