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Les dents de la mer ou l'art du subjectif
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- Nombre de pages350
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-36716-479-3
- EAN9782367164793
- Date de parution06/07/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurLettMotif
Résumé
Les Dents de la mer (Jaws, 1975) a 50 ans. L'occasion idéale pour se pencher sur ce film devenu l'un des plus célèbres de l'histoire du cinéma.
Maintes fois imité, jamais égalé, il fut le premier blockbuster, le film qui rendit célèbre Steven Spielberg après Duel (1972) et Sugarland Express (The Sugarland Express, 1974). Il fut aussi le plus grand succès au monde, détrôné par La Guerre des étoiles (Star Wars, 1977) deux ans plus tard.
Tout a été écrit sur le film, on a beaucoup parlé de son requin mécanique qui ne fonctionnait pas, son tournage homérique...
Pourtant, avec cet ouvrage, Frédéric Zamochnikoff nous permet de redécouvrir Les Dents de la mer.
Il décortique plan par plan ce chef-d'ouvre du réalisateur de E. T. (E. T. the Extraterrestrial, 1982) et de La Liste de Schindler (Schindler's list, 1993). Comment le wonder boy a-t-il réussi à créer un film qui allait engendrer une véritable thalassophobie auprès de millions de spectateurs ? Comment a-t-il mis en scène un requin qui ne fonctionnait pas... pour que le film fonctionne ? En se penchant sur les choix de mise en scène de Steven Spielberg, de montage (Verna Fields a remporté un Oscar pour son travail sur le film), sur sa maîtrise du découpage, des mouvements de caméra et de la profondeur de champ, Frédéric Zamochnikoff éclaire d'un angle nouveau ce classique.
Le talent d'un cinéaste comme Spielberg réside dans sa maîtrise de la subjectivité. À l'instar d'Alfred Hitchcock, il identifie le spectateur au héros pour qu'il vive l'expérience du film. Avec Les Dents de la mer, il combine ce dispositif avec une utilisation de la caméra subjective originale : en adoptant le point de vue du requin, Spielberg nous donne à ressentir nos peurs les plus profondes.
[...] ///// 1.200 photogrammes du film en couleur ////
Il décortique plan par plan ce chef-d'ouvre du réalisateur de E. T. (E. T. the Extraterrestrial, 1982) et de La Liste de Schindler (Schindler's list, 1993). Comment le wonder boy a-t-il réussi à créer un film qui allait engendrer une véritable thalassophobie auprès de millions de spectateurs ? Comment a-t-il mis en scène un requin qui ne fonctionnait pas... pour que le film fonctionne ? En se penchant sur les choix de mise en scène de Steven Spielberg, de montage (Verna Fields a remporté un Oscar pour son travail sur le film), sur sa maîtrise du découpage, des mouvements de caméra et de la profondeur de champ, Frédéric Zamochnikoff éclaire d'un angle nouveau ce classique.
Le talent d'un cinéaste comme Spielberg réside dans sa maîtrise de la subjectivité. À l'instar d'Alfred Hitchcock, il identifie le spectateur au héros pour qu'il vive l'expérience du film. Avec Les Dents de la mer, il combine ce dispositif avec une utilisation de la caméra subjective originale : en adoptant le point de vue du requin, Spielberg nous donne à ressentir nos peurs les plus profondes.
[...] ///// 1.200 photogrammes du film en couleur ////
Les Dents de la mer (Jaws, 1975) a 50 ans. L'occasion idéale pour se pencher sur ce film devenu l'un des plus célèbres de l'histoire du cinéma.
Maintes fois imité, jamais égalé, il fut le premier blockbuster, le film qui rendit célèbre Steven Spielberg après Duel (1972) et Sugarland Express (The Sugarland Express, 1974). Il fut aussi le plus grand succès au monde, détrôné par La Guerre des étoiles (Star Wars, 1977) deux ans plus tard.
Tout a été écrit sur le film, on a beaucoup parlé de son requin mécanique qui ne fonctionnait pas, son tournage homérique...
Pourtant, avec cet ouvrage, Frédéric Zamochnikoff nous permet de redécouvrir Les Dents de la mer.
Il décortique plan par plan ce chef-d'ouvre du réalisateur de E. T. (E. T. the Extraterrestrial, 1982) et de La Liste de Schindler (Schindler's list, 1993). Comment le wonder boy a-t-il réussi à créer un film qui allait engendrer une véritable thalassophobie auprès de millions de spectateurs ? Comment a-t-il mis en scène un requin qui ne fonctionnait pas... pour que le film fonctionne ? En se penchant sur les choix de mise en scène de Steven Spielberg, de montage (Verna Fields a remporté un Oscar pour son travail sur le film), sur sa maîtrise du découpage, des mouvements de caméra et de la profondeur de champ, Frédéric Zamochnikoff éclaire d'un angle nouveau ce classique.
Le talent d'un cinéaste comme Spielberg réside dans sa maîtrise de la subjectivité. À l'instar d'Alfred Hitchcock, il identifie le spectateur au héros pour qu'il vive l'expérience du film. Avec Les Dents de la mer, il combine ce dispositif avec une utilisation de la caméra subjective originale : en adoptant le point de vue du requin, Spielberg nous donne à ressentir nos peurs les plus profondes.
[...] ///// 1.200 photogrammes du film en couleur ////
Il décortique plan par plan ce chef-d'ouvre du réalisateur de E. T. (E. T. the Extraterrestrial, 1982) et de La Liste de Schindler (Schindler's list, 1993). Comment le wonder boy a-t-il réussi à créer un film qui allait engendrer une véritable thalassophobie auprès de millions de spectateurs ? Comment a-t-il mis en scène un requin qui ne fonctionnait pas... pour que le film fonctionne ? En se penchant sur les choix de mise en scène de Steven Spielberg, de montage (Verna Fields a remporté un Oscar pour son travail sur le film), sur sa maîtrise du découpage, des mouvements de caméra et de la profondeur de champ, Frédéric Zamochnikoff éclaire d'un angle nouveau ce classique.
Le talent d'un cinéaste comme Spielberg réside dans sa maîtrise de la subjectivité. À l'instar d'Alfred Hitchcock, il identifie le spectateur au héros pour qu'il vive l'expérience du film. Avec Les Dents de la mer, il combine ce dispositif avec une utilisation de la caméra subjective originale : en adoptant le point de vue du requin, Spielberg nous donne à ressentir nos peurs les plus profondes.
[...] ///// 1.200 photogrammes du film en couleur ////