Les Curés à la fin de l'Ancien Régime

Par : Rosie Simon-Sandras, Jean Imbert

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  • Nombre de pages164
  • FormatPDF
  • ISBN2-13-070035-7
  • EAN9782130700357
  • Date de parution01/01/1988
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille49 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurPresses universitaires de France...

Résumé

À la tête de la paroisse, lieu par excellence de la vie catholique du XVIIIe siècle, le curé exerce un pouvoir à la fois spirituel et temporel, sur les directives de son évêque, et avec la collaboration de notables. Retracer sa carrière, depuis le séminaire jusqu'à son installation, préciser son rôle exact au sein de la communauté : tel est l'objet du présent ouvrage. L'autonomie du curé est réelle, limitée toutefois par le droit de regard de son supérieur hiérarchique, l'évêque, qui veille au bon exercice de son apostolat, et sanctionne ses défaillances éventuelles.
Néanmoins, au cours de ce XVIIIe siècle, qui s'étend de 1695 à 1789, une tendance à l'uniformité se précise, et des règles générales s'imposent peu à peu. Par ailleurs, l'intervention du souverain, déjà sensible dans les deux siècles précédents, aboutit à faire du curé un véritable « agent de l'État ». Tant sur le plan canonique, que sur le plan laïc, on peut considérer que, désormais, le curé jouit d'un statut particulier, aux contours de plus en plus précis.
À la tête de la paroisse, lieu par excellence de la vie catholique du XVIIIe siècle, le curé exerce un pouvoir à la fois spirituel et temporel, sur les directives de son évêque, et avec la collaboration de notables. Retracer sa carrière, depuis le séminaire jusqu'à son installation, préciser son rôle exact au sein de la communauté : tel est l'objet du présent ouvrage. L'autonomie du curé est réelle, limitée toutefois par le droit de regard de son supérieur hiérarchique, l'évêque, qui veille au bon exercice de son apostolat, et sanctionne ses défaillances éventuelles.
Néanmoins, au cours de ce XVIIIe siècle, qui s'étend de 1695 à 1789, une tendance à l'uniformité se précise, et des règles générales s'imposent peu à peu. Par ailleurs, l'intervention du souverain, déjà sensible dans les deux siècles précédents, aboutit à faire du curé un véritable « agent de l'État ». Tant sur le plan canonique, que sur le plan laïc, on peut considérer que, désormais, le curé jouit d'un statut particulier, aux contours de plus en plus précis.