Les cultures africaines dans le champ de la rationalité scientifique
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- Nombre de pages210
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-16672-1
- EAN9782296166721
- Date de parution01/03/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Dans la mesure où l'humanité est en quête des savoirs de toutes les cultures, il faut s'interroger sur le modèle de mondialisation des savoirs à construire en faisant place aux acteurs de la science situés dans les contextes culturels différents. En même temps, il convient de montrer les risques auxquels l'humanité s'expose lorsque la science qui tend à se globaliser, c'est une science en crise et, en fin de compte, des paradigmes dont la pertinence est remise en question dans l'espace de leur apparition.
Les savants et les philosophes qui s'interrogent aujourd'hui sur la science en Occident montrent bien que la manière dont la science se développe ne répond pas aux attentes de l'Occident lui-même. La quête d'une " science ouverte ", d'une " raison plus totale " ou d'une " complémentarité des savoirs " met en cause la pratique d'une rationalité particulière, dominante et tronquée. Rien ne justifie l'absurde prétention de cette science à s'identifier à " la raison universelle ".
Au moment où l'Occident est hanté par les exigences d'une rationalité qu'il s'est fait le devoir d'oublier depuis la séparation de la science et des grands systèmes philosophiques, une sorte de vigilance épistémologique s'impose à l'Afrique. Dès lors, insiste l'auteur, dans tout rapport au savoir, il s'agit de prendre en compte la négation de ce qui, à travers l'invasion des paradigmes d'Occident, donne sens et valeur à la vie.
Le scientifique africain doit veiller à construire une nouvelle cohérence. Dans ce but, des choix fondamentaux s'imposent au sujet de la nature de la science elle-même. Ces choix obligent à établir de nouveaux liens entre la science et le reste de la culture, en particulier la philosophie, l'éthique et l'art. Ils imposent une autre orientation à la pensée.
Les savants et les philosophes qui s'interrogent aujourd'hui sur la science en Occident montrent bien que la manière dont la science se développe ne répond pas aux attentes de l'Occident lui-même. La quête d'une " science ouverte ", d'une " raison plus totale " ou d'une " complémentarité des savoirs " met en cause la pratique d'une rationalité particulière, dominante et tronquée. Rien ne justifie l'absurde prétention de cette science à s'identifier à " la raison universelle ".
Au moment où l'Occident est hanté par les exigences d'une rationalité qu'il s'est fait le devoir d'oublier depuis la séparation de la science et des grands systèmes philosophiques, une sorte de vigilance épistémologique s'impose à l'Afrique. Dès lors, insiste l'auteur, dans tout rapport au savoir, il s'agit de prendre en compte la négation de ce qui, à travers l'invasion des paradigmes d'Occident, donne sens et valeur à la vie.
Le scientifique africain doit veiller à construire une nouvelle cohérence. Dans ce but, des choix fondamentaux s'imposent au sujet de la nature de la science elle-même. Ces choix obligent à établir de nouveaux liens entre la science et le reste de la culture, en particulier la philosophie, l'éthique et l'art. Ils imposent une autre orientation à la pensée.
Dans la mesure où l'humanité est en quête des savoirs de toutes les cultures, il faut s'interroger sur le modèle de mondialisation des savoirs à construire en faisant place aux acteurs de la science situés dans les contextes culturels différents. En même temps, il convient de montrer les risques auxquels l'humanité s'expose lorsque la science qui tend à se globaliser, c'est une science en crise et, en fin de compte, des paradigmes dont la pertinence est remise en question dans l'espace de leur apparition.
Les savants et les philosophes qui s'interrogent aujourd'hui sur la science en Occident montrent bien que la manière dont la science se développe ne répond pas aux attentes de l'Occident lui-même. La quête d'une " science ouverte ", d'une " raison plus totale " ou d'une " complémentarité des savoirs " met en cause la pratique d'une rationalité particulière, dominante et tronquée. Rien ne justifie l'absurde prétention de cette science à s'identifier à " la raison universelle ".
Au moment où l'Occident est hanté par les exigences d'une rationalité qu'il s'est fait le devoir d'oublier depuis la séparation de la science et des grands systèmes philosophiques, une sorte de vigilance épistémologique s'impose à l'Afrique. Dès lors, insiste l'auteur, dans tout rapport au savoir, il s'agit de prendre en compte la négation de ce qui, à travers l'invasion des paradigmes d'Occident, donne sens et valeur à la vie.
Le scientifique africain doit veiller à construire une nouvelle cohérence. Dans ce but, des choix fondamentaux s'imposent au sujet de la nature de la science elle-même. Ces choix obligent à établir de nouveaux liens entre la science et le reste de la culture, en particulier la philosophie, l'éthique et l'art. Ils imposent une autre orientation à la pensée.
Les savants et les philosophes qui s'interrogent aujourd'hui sur la science en Occident montrent bien que la manière dont la science se développe ne répond pas aux attentes de l'Occident lui-même. La quête d'une " science ouverte ", d'une " raison plus totale " ou d'une " complémentarité des savoirs " met en cause la pratique d'une rationalité particulière, dominante et tronquée. Rien ne justifie l'absurde prétention de cette science à s'identifier à " la raison universelle ".
Au moment où l'Occident est hanté par les exigences d'une rationalité qu'il s'est fait le devoir d'oublier depuis la séparation de la science et des grands systèmes philosophiques, une sorte de vigilance épistémologique s'impose à l'Afrique. Dès lors, insiste l'auteur, dans tout rapport au savoir, il s'agit de prendre en compte la négation de ce qui, à travers l'invasion des paradigmes d'Occident, donne sens et valeur à la vie.
Le scientifique africain doit veiller à construire une nouvelle cohérence. Dans ce but, des choix fondamentaux s'imposent au sujet de la nature de la science elle-même. Ces choix obligent à établir de nouveaux liens entre la science et le reste de la culture, en particulier la philosophie, l'éthique et l'art. Ils imposent une autre orientation à la pensée.