Les "creux" du social. De l'indéterminé dans un monde se globalisant
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- Nombre de pages288
- FormatPDF
- ISBN2-296-41348-X
- EAN9782296413481
- Date de parution01/11/2005
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La sociologie a du mal avec la " post-modernité ". Elle semble parfois plus à l'aise pour caractériser les " déstructurations " " dés-affiliations " " dis-sonances ", des mondes qui se dé-font que ce qui advient. Mais en privilégiant les formes sociales fortes, à base de mobilisation et d'engagement, les sociologues n'ont-ils pas contribué à occulter un pan des dynamiques sociales contemporaines au cœur de notre modernité ? N'est-ce pas parce qu'il existe, " en creux " de la vie sociale qui s'affiche, des espaces d'indifférence ou de latence marqués par d'autres sceaux que ceux de la rationalité positive instituée, que certaines formes de vie sociale contemporaine peuvent continuer d'être supportables et supportées ? Se tenir là, cultiver l'incertitude, c'est ainsi une façon de se préserver, de se tenir à la fois là et en deçà : n'est-ce pas aujourd'hui le lien le plus commun de nos sociétés hyperrationalisées ? Force des liens faibles, du latent, du ponctuel et de l'indéterminé pour rendre compte du multipositionnement contemporain ? C'est en tout cas la démarche que le présent ouvrage s'efforce de préciser : en renouant avec une série d'approches qui ont exploré ces perspectives (la négativité des comportements collectifs de G.
Simmel, la force des réseaux faibles de M. Granovetter, l'importance du " commun " ou de l'indifférence de C. Giraud) ainsi qu'au travers d'une série d'études pratiques (concernant l'approche des territoires, de l'institution académique, d'entreprises ou d'organisations).
Simmel, la force des réseaux faibles de M. Granovetter, l'importance du " commun " ou de l'indifférence de C. Giraud) ainsi qu'au travers d'une série d'études pratiques (concernant l'approche des territoires, de l'institution académique, d'entreprises ou d'organisations).
La sociologie a du mal avec la " post-modernité ". Elle semble parfois plus à l'aise pour caractériser les " déstructurations " " dés-affiliations " " dis-sonances ", des mondes qui se dé-font que ce qui advient. Mais en privilégiant les formes sociales fortes, à base de mobilisation et d'engagement, les sociologues n'ont-ils pas contribué à occulter un pan des dynamiques sociales contemporaines au cœur de notre modernité ? N'est-ce pas parce qu'il existe, " en creux " de la vie sociale qui s'affiche, des espaces d'indifférence ou de latence marqués par d'autres sceaux que ceux de la rationalité positive instituée, que certaines formes de vie sociale contemporaine peuvent continuer d'être supportables et supportées ? Se tenir là, cultiver l'incertitude, c'est ainsi une façon de se préserver, de se tenir à la fois là et en deçà : n'est-ce pas aujourd'hui le lien le plus commun de nos sociétés hyperrationalisées ? Force des liens faibles, du latent, du ponctuel et de l'indéterminé pour rendre compte du multipositionnement contemporain ? C'est en tout cas la démarche que le présent ouvrage s'efforce de préciser : en renouant avec une série d'approches qui ont exploré ces perspectives (la négativité des comportements collectifs de G.
Simmel, la force des réseaux faibles de M. Granovetter, l'importance du " commun " ou de l'indifférence de C. Giraud) ainsi qu'au travers d'une série d'études pratiques (concernant l'approche des territoires, de l'institution académique, d'entreprises ou d'organisations).
Simmel, la force des réseaux faibles de M. Granovetter, l'importance du " commun " ou de l'indifférence de C. Giraud) ainsi qu'au travers d'une série d'études pratiques (concernant l'approche des territoires, de l'institution académique, d'entreprises ou d'organisations).