Les comtesses de la Gestapo

Par : Cyril Eder

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  • Nombre de pages262
  • FormatePub
  • ISBN978-2-246-67409-2
  • EAN9782246674092
  • Date de parution17/01/2007
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille341 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurGrasset

Résumé

Dans le Paris de l'Occupation, réduit au périmètre douteux qui va des bureaux du Majestic à l'Omnibus de chez Maxim s en passant par les sous-sols de la rue Lauriston, ce livre brosse une galerie de femmes vénales, exotiques, qui vont vivre sous l'occupation, un étrange conte de fées qui se terminera souvent en cauchemar? Russe comme la princesse Tchernitcheff, mannequin et actrice de cinéma, qui devint la protégée du sinistre Lafont, chef de la Gestapo française, et la maîtresse d'officiers allemands influents? Grecque comme la princesse Mourousi, lesbienne et morphinomane qui, non contente de doubler les Allemands au marché noir, faisait vider les appartements des juifs pourchassés? Espagnole comme la marquise de San Carlos, maîtresse avant guerre du maire de Biarritz, franquiste de la première heure, elle s'acharnait sur les réfugiés républicains qu'elle dénonçait? Mais aussi françaises comme Sylviane d'Abrantés ou la comtesse Olinska.
La première, maîtresse entre autres de Lafont qui la décrit comme "une chienne et une folle", sera une des grandes courtisanes de l'Occupation. La comtesse Olinska profite de ses trafics d'influence pour tenter de se lancer avec sa petite fille dans le monde du cinéma. Elles vont traverser cette période en reines de toutes les compromissions, portées par la veulerie des hommes en place et les complaisances du système économique instauré par l'occupant. Grâce à l'ouverture récente des archives de justice aux historiens, ce livre dévoile pour la première fois les vies extravagantes de celles qu'on surnomma après guerre, les "comtesses de la Gestapo", fleurs vénéneuses dont l'éclat fut peut-être fugitif mais le parfum assez capiteux pour nous fasciner et nous horrifier -encore aujourd'hui.
Dans le Paris de l'Occupation, réduit au périmètre douteux qui va des bureaux du Majestic à l'Omnibus de chez Maxim s en passant par les sous-sols de la rue Lauriston, ce livre brosse une galerie de femmes vénales, exotiques, qui vont vivre sous l'occupation, un étrange conte de fées qui se terminera souvent en cauchemar? Russe comme la princesse Tchernitcheff, mannequin et actrice de cinéma, qui devint la protégée du sinistre Lafont, chef de la Gestapo française, et la maîtresse d'officiers allemands influents? Grecque comme la princesse Mourousi, lesbienne et morphinomane qui, non contente de doubler les Allemands au marché noir, faisait vider les appartements des juifs pourchassés? Espagnole comme la marquise de San Carlos, maîtresse avant guerre du maire de Biarritz, franquiste de la première heure, elle s'acharnait sur les réfugiés républicains qu'elle dénonçait? Mais aussi françaises comme Sylviane d'Abrantés ou la comtesse Olinska.
La première, maîtresse entre autres de Lafont qui la décrit comme "une chienne et une folle", sera une des grandes courtisanes de l'Occupation. La comtesse Olinska profite de ses trafics d'influence pour tenter de se lancer avec sa petite fille dans le monde du cinéma. Elles vont traverser cette période en reines de toutes les compromissions, portées par la veulerie des hommes en place et les complaisances du système économique instauré par l'occupant. Grâce à l'ouverture récente des archives de justice aux historiens, ce livre dévoile pour la première fois les vies extravagantes de celles qu'on surnomma après guerre, les "comtesses de la Gestapo", fleurs vénéneuses dont l'éclat fut peut-être fugitif mais le parfum assez capiteux pour nous fasciner et nous horrifier -encore aujourd'hui.