Les commandos de l'Affiche rouge. La vérité historique sur la première section de l'Armée secrète

Par : Arsène Tchakarian, Hélène Kosséian-Bairamian

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  • Nombre de pages320
  • FormatePub
  • ISBN978-2-268-07488-7
  • EAN9782268074887
  • Date de parution23/01/2015
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille9 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurEditions du Rocher

Résumé

Fin 1942. Dans Paris occupé par les Allemands, l'ouvrier poète Missak Manouchian prend la tête d'un groupe de jeunes juifs, hongrois, polonais, roumains, espagnols, italiens, arméniens, tous déterminés à combattre pour libérer la France. Dans la clandestinité et au péril de leur vie, les membres de ce groupe vont devenir des héros. Leurs actions : harceler l'occupant, dérailler les chemins de fer, arrêter les dénonciateurs.
Les services spéciaux de la police anticommuniste de l'État vichyste, le B1 et le B2 installés à la préfecture de police de Paris depuis aout 1942, sous les ordres du chef de la police de la sécurité, et de deux agents, Roger et Albert, infiltrés dans les organisations immigrées, permettent les arrestations des 23 combattants de la première section parisienne de l'Armée secrète, fin novembre 1943.
Le 21 février suivant, les membres du groupe de Manouchian sont condamnés à mort. Les nazis vont faire de cette arrestation une propagande outrageuse et placarder des affiches de ces hommes, transformés en criminels, sur les murs du Tout-Paris et dans la France entière : l'armée du crime". Le jour même, à 15 heures, au mont Valérien, des salves de balles vont cribler les corps de ces résistants. Arsène Tchakarian, dernier survivant de ces clandestins, continue à faire vivre la mémoire de la Résistance et pose la question sans détours.
Il donne le nom du coupable, celui qui a sonné la mort de ces compagnons de l'ombre.".
Fin 1942. Dans Paris occupé par les Allemands, l'ouvrier poète Missak Manouchian prend la tête d'un groupe de jeunes juifs, hongrois, polonais, roumains, espagnols, italiens, arméniens, tous déterminés à combattre pour libérer la France. Dans la clandestinité et au péril de leur vie, les membres de ce groupe vont devenir des héros. Leurs actions : harceler l'occupant, dérailler les chemins de fer, arrêter les dénonciateurs.
Les services spéciaux de la police anticommuniste de l'État vichyste, le B1 et le B2 installés à la préfecture de police de Paris depuis aout 1942, sous les ordres du chef de la police de la sécurité, et de deux agents, Roger et Albert, infiltrés dans les organisations immigrées, permettent les arrestations des 23 combattants de la première section parisienne de l'Armée secrète, fin novembre 1943.
Le 21 février suivant, les membres du groupe de Manouchian sont condamnés à mort. Les nazis vont faire de cette arrestation une propagande outrageuse et placarder des affiches de ces hommes, transformés en criminels, sur les murs du Tout-Paris et dans la France entière : l'armée du crime". Le jour même, à 15 heures, au mont Valérien, des salves de balles vont cribler les corps de ces résistants. Arsène Tchakarian, dernier survivant de ces clandestins, continue à faire vivre la mémoire de la Résistance et pose la question sans détours.
Il donne le nom du coupable, celui qui a sonné la mort de ces compagnons de l'ombre.".