Les cinq jours de Toul. Du 18 au 22 juin 1940

Par : Pierre Ordioni

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages312
  • FormatePub
  • ISBN2-221-23679-3
  • EAN9782221236796
  • Date de parution01/01/1967
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurRobert Laffont (réédition numéri...

Résumé

18 juin 1940. À l'heure même où le général de Gaulle lance de Londres son premier appel à la radio, un régiment de réserve, le 227e d'Infanterie, dans le fracas d'un formidable bombardement, s'arc-boute pour briser le choc d'une division allemande qui a reçu l'ordre de s'emparer de Toul-Toul, qu'il a pour mission, lui, de défendre. La veille, ce régiment qui retraitait au milieu de la débâcle, a appris coup sur coup que la France est plus qu'à moitié envahie, que l'Armée de l'Est à laquelle il appartient est encerclée, que sa retraite est coupée et l'armistice demandé.
Cependant, il va se battre pendant cinq jours, et ses derniers éléments, réduits à quelques centaines d'hommes, ne cesseront le feu que sur ordre, le 22 juin, croyant avoir mérité de bénéficier des conditions de l'armistice... Seule l'Armée allemande lui a rendu hommage. Pierre Ordioni, qui a participé à ces combats comme lieutenant de réserve, nous les fait vivre au milieu de ces Bourguignons, Berrichons et Parisiens, encadrés d'instituteurs, de prêtres, d'aristocrates, de négociants en vins, d'officiers d'active : ce monde encore solide qu'on appelait alors la Nation armée.
Une page méconnue de la résistance militaire au cours de la campagne de juin 40.
18 juin 1940. À l'heure même où le général de Gaulle lance de Londres son premier appel à la radio, un régiment de réserve, le 227e d'Infanterie, dans le fracas d'un formidable bombardement, s'arc-boute pour briser le choc d'une division allemande qui a reçu l'ordre de s'emparer de Toul-Toul, qu'il a pour mission, lui, de défendre. La veille, ce régiment qui retraitait au milieu de la débâcle, a appris coup sur coup que la France est plus qu'à moitié envahie, que l'Armée de l'Est à laquelle il appartient est encerclée, que sa retraite est coupée et l'armistice demandé.
Cependant, il va se battre pendant cinq jours, et ses derniers éléments, réduits à quelques centaines d'hommes, ne cesseront le feu que sur ordre, le 22 juin, croyant avoir mérité de bénéficier des conditions de l'armistice... Seule l'Armée allemande lui a rendu hommage. Pierre Ordioni, qui a participé à ces combats comme lieutenant de réserve, nous les fait vivre au milieu de ces Bourguignons, Berrichons et Parisiens, encadrés d'instituteurs, de prêtres, d'aristocrates, de négociants en vins, d'officiers d'active : ce monde encore solide qu'on appelait alors la Nation armée.
Une page méconnue de la résistance militaire au cours de la campagne de juin 40.