Entre la rue Froment, où vit sa grand-mère maquerelle, et la rue du Cheval-Blanc, chez son père tailleur, Marie-Adrienne grandit dans un Limoges populaire, tiraillée entre le monde de la prostitution et celui de la police, représenté par son grand-père agent-chef.
Mariée à seize ans, elle obtient dès l'année suivante son brevet de capacité supérieur, avant même l'âge légal, et se consacre à l'enseignement.
D'abord auprès des jeunes filles « sauvées » de la prostitution chez les sours du Bon Pasteur, puis à la tête de ses propres écoles, dont l'une deviendra l'une des plus importantes de la ville.
Entre la rue Froment, où vit sa grand-mère maquerelle, et la rue du Cheval-Blanc, chez son père tailleur, Marie-Adrienne grandit dans un Limoges populaire, tiraillée entre le monde de la prostitution et celui de la police, représenté par son grand-père agent-chef.
Mariée à seize ans, elle obtient dès l'année suivante son brevet de capacité supérieur, avant même l'âge légal, et se consacre à l'enseignement.
D'abord auprès des jeunes filles « sauvées » de la prostitution chez les sours du Bon Pasteur, puis à la tête de ses propres écoles, dont l'une deviendra l'une des plus importantes de la ville.