Les ch'tis c'était les clichés
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- Nombre de pages132
- FormatePub
- ISBN978-2-7021-4620-0
- EAN9782702146200
- Date de parution27/08/2008
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille344 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurCalmann-Lévy
Résumé
Masochistes, les habitants du Nord et du Pas-de-Calais ? On le croirait bien. Ils aiment passionnément leur région, « braient » quand il s'agit de la quitter, et pourtant, ils sont les premiers à diffuser des clichés catastrophiques. Dernier avatar en date, le film de Dany Boon, Bienvenue chez les Ch'tis. Une comédie avec un cour gros comme ça, gentille et humaniste. et qui, pourtant, enfonce le clou d'un Nord ouvert sur les autres mais replié sur lui-même, bourré de complexes.
pour ne pas dire bourré tout court. Non, le Nord-Pas-de-Calais, ce n'est pas cela, proteste Élise Ovart-Baratte, jeune chercheuse du Nord, qui, pour s'être étonnée que le Conseil régional ait accordé une subvention de 600 000 euros au film de Dany Boon, s'est fait sévèrement réprimander par son entourage. Aujourd'hui, elle persiste et signe en posant des questions qui fâchent : pourquoi cette région sait-elle si peu mettre en valeur ses innombrables atouts ? Pourquoi ses habitants se complaisent-ils dans une vision passéiste de leur région ?Dans un pamphlet salutaire et revigorant, Élise Ovart-Baratte fait valser les idées reçues en interrogeant l'identité d'une région longtemps méconnue et souvent méprisée.
pour ne pas dire bourré tout court. Non, le Nord-Pas-de-Calais, ce n'est pas cela, proteste Élise Ovart-Baratte, jeune chercheuse du Nord, qui, pour s'être étonnée que le Conseil régional ait accordé une subvention de 600 000 euros au film de Dany Boon, s'est fait sévèrement réprimander par son entourage. Aujourd'hui, elle persiste et signe en posant des questions qui fâchent : pourquoi cette région sait-elle si peu mettre en valeur ses innombrables atouts ? Pourquoi ses habitants se complaisent-ils dans une vision passéiste de leur région ?Dans un pamphlet salutaire et revigorant, Élise Ovart-Baratte fait valser les idées reçues en interrogeant l'identité d'une région longtemps méconnue et souvent méprisée.
Masochistes, les habitants du Nord et du Pas-de-Calais ? On le croirait bien. Ils aiment passionnément leur région, « braient » quand il s'agit de la quitter, et pourtant, ils sont les premiers à diffuser des clichés catastrophiques. Dernier avatar en date, le film de Dany Boon, Bienvenue chez les Ch'tis. Une comédie avec un cour gros comme ça, gentille et humaniste. et qui, pourtant, enfonce le clou d'un Nord ouvert sur les autres mais replié sur lui-même, bourré de complexes.
pour ne pas dire bourré tout court. Non, le Nord-Pas-de-Calais, ce n'est pas cela, proteste Élise Ovart-Baratte, jeune chercheuse du Nord, qui, pour s'être étonnée que le Conseil régional ait accordé une subvention de 600 000 euros au film de Dany Boon, s'est fait sévèrement réprimander par son entourage. Aujourd'hui, elle persiste et signe en posant des questions qui fâchent : pourquoi cette région sait-elle si peu mettre en valeur ses innombrables atouts ? Pourquoi ses habitants se complaisent-ils dans une vision passéiste de leur région ?Dans un pamphlet salutaire et revigorant, Élise Ovart-Baratte fait valser les idées reçues en interrogeant l'identité d'une région longtemps méconnue et souvent méprisée.
pour ne pas dire bourré tout court. Non, le Nord-Pas-de-Calais, ce n'est pas cela, proteste Élise Ovart-Baratte, jeune chercheuse du Nord, qui, pour s'être étonnée que le Conseil régional ait accordé une subvention de 600 000 euros au film de Dany Boon, s'est fait sévèrement réprimander par son entourage. Aujourd'hui, elle persiste et signe en posant des questions qui fâchent : pourquoi cette région sait-elle si peu mettre en valeur ses innombrables atouts ? Pourquoi ses habitants se complaisent-ils dans une vision passéiste de leur région ?Dans un pamphlet salutaire et revigorant, Élise Ovart-Baratte fait valser les idées reçues en interrogeant l'identité d'une région longtemps méconnue et souvent méprisée.
