Les catholiques intransigeants en France
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages406
- FormatPDF
- ISBN2-296-27266-5
- EAN9782296272668
- Date de parution01/12/2002
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille14 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le catholicisme est divisé, depuis la Révolution française, entre les libéraux, partisans de se réconcilier avec les idées modernes, et les intransigeants qui rejettent la modernité et se caractérisent par l'acceptation de tout l'enseignement de l'Eglise. Le sociologue et historien Emile Poulat soutient que l'Eglise catholique est par nature intransigeante. D'autres auteurs prétendent que, depuis Vatican II, l'intransigeantisme n'est plus le cadre structurant des rapports entre l'Eglise et le monde et que le concile a permis de réconcilier l'Eglise avec la modernité.
Pourtant, les intransigeants, loin d'être une force négligeable réductible à ce qui est appelé l'intégrisme, représentent une fraction active de l'Eglise de France même s'ils sont divisés en fonction de leurs comportements religieux et de leurs préférences liturgiques entre traditionalistes, charismatiques et restitutionnistes.
L'importance et le dynamisme des catholiques intransigeants, comme leur accord avec leur hiérarchie et le soutien qu'ils reçoivent de celle-ci, laissent à penser que l'intransigeantisme demeure le mode de relation majeur entre le monde profane et l'Eglise malgré Vatican Il.
Il n'est d'ailleurs pas exclu que l'intransigeantisme soit l'identité même du catholicisme.
Il n'est d'ailleurs pas exclu que l'intransigeantisme soit l'identité même du catholicisme.
Le catholicisme est divisé, depuis la Révolution française, entre les libéraux, partisans de se réconcilier avec les idées modernes, et les intransigeants qui rejettent la modernité et se caractérisent par l'acceptation de tout l'enseignement de l'Eglise. Le sociologue et historien Emile Poulat soutient que l'Eglise catholique est par nature intransigeante. D'autres auteurs prétendent que, depuis Vatican II, l'intransigeantisme n'est plus le cadre structurant des rapports entre l'Eglise et le monde et que le concile a permis de réconcilier l'Eglise avec la modernité.
Pourtant, les intransigeants, loin d'être une force négligeable réductible à ce qui est appelé l'intégrisme, représentent une fraction active de l'Eglise de France même s'ils sont divisés en fonction de leurs comportements religieux et de leurs préférences liturgiques entre traditionalistes, charismatiques et restitutionnistes.
L'importance et le dynamisme des catholiques intransigeants, comme leur accord avec leur hiérarchie et le soutien qu'ils reçoivent de celle-ci, laissent à penser que l'intransigeantisme demeure le mode de relation majeur entre le monde profane et l'Eglise malgré Vatican Il.
Il n'est d'ailleurs pas exclu que l'intransigeantisme soit l'identité même du catholicisme.
Il n'est d'ailleurs pas exclu que l'intransigeantisme soit l'identité même du catholicisme.