Les brouettes à voile
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- Nombre de pages336
- FormatePub
- ISBN978-2-310-03533-0
- EAN9782310035330
- Date de parution18/08/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurÉditions Amalthée
Résumé
À partir de 1916, 150 000 travailleurs civils Chinois posent le pied sur le sol brûlant de France, en réponse à l'appel des nations en guerre contre l'Allemagne. Venus en éclaireurs, Zhijiang, avide de nouveaux horizons, et son ami Qiu sortiront-ils indemnes de cette odyssée qui les conduit de leur province Mandchoue du Jilin à la baie de Somme ? Rescapés privilégiés d'un interminable périple maritime, aussi envoûtant qu'inquiétant, guériront-ils durablement de leurs premières meurtrissures ?
Dans les prairies de Nolette, le camp chinois et l'hôpital qui le flanque seront les scènes où se joueront des drames qui révéleront, heureusement, des acteurs lumineux.
À Saint-Valery-sur-Somme, le vieux cafetier, Eugène, et son improbable tribu du café de la baie qui n'admet l'eau qu'à sa place, dans la mer, sauveront-ils Zhijiang de ses naufrages ? Confirmeront-ils qu'existent toujours des bribes d'humanité qui rougeoient sous la cendre ? Que les grands vents d'ouest soufflent dans les voiles des fabuleux équipages ! Que les bras puissants du Mongol les arrachent aux lagunes et à la baie de Somme infinie que la mer a désertée, l'instant, trop bref, d'une fierté retrouvée ! Jean Cot est l'auteur d'articles sur les travailleurs Chinois de Nolette, publiés dans les années 1980, sous le pseudonyme de Jean Darsigny.
Il leur consacre aujourd'hui un roman pour contribuer à éviter que l'oubli inacceptable ne finisse par les ensevelir pour l'éternité. Trente années auront été nécessaires car il n'est pas aisé de prendre par la main des hommes abîmés afin qu'ils nous murmurent ce que furent leurs tourments et nous révèlent ceux qui réussirent, peut-être, à les sauver de leurs naufrages.
À Saint-Valery-sur-Somme, le vieux cafetier, Eugène, et son improbable tribu du café de la baie qui n'admet l'eau qu'à sa place, dans la mer, sauveront-ils Zhijiang de ses naufrages ? Confirmeront-ils qu'existent toujours des bribes d'humanité qui rougeoient sous la cendre ? Que les grands vents d'ouest soufflent dans les voiles des fabuleux équipages ! Que les bras puissants du Mongol les arrachent aux lagunes et à la baie de Somme infinie que la mer a désertée, l'instant, trop bref, d'une fierté retrouvée ! Jean Cot est l'auteur d'articles sur les travailleurs Chinois de Nolette, publiés dans les années 1980, sous le pseudonyme de Jean Darsigny.
Il leur consacre aujourd'hui un roman pour contribuer à éviter que l'oubli inacceptable ne finisse par les ensevelir pour l'éternité. Trente années auront été nécessaires car il n'est pas aisé de prendre par la main des hommes abîmés afin qu'ils nous murmurent ce que furent leurs tourments et nous révèlent ceux qui réussirent, peut-être, à les sauver de leurs naufrages.
À partir de 1916, 150 000 travailleurs civils Chinois posent le pied sur le sol brûlant de France, en réponse à l'appel des nations en guerre contre l'Allemagne. Venus en éclaireurs, Zhijiang, avide de nouveaux horizons, et son ami Qiu sortiront-ils indemnes de cette odyssée qui les conduit de leur province Mandchoue du Jilin à la baie de Somme ? Rescapés privilégiés d'un interminable périple maritime, aussi envoûtant qu'inquiétant, guériront-ils durablement de leurs premières meurtrissures ?
Dans les prairies de Nolette, le camp chinois et l'hôpital qui le flanque seront les scènes où se joueront des drames qui révéleront, heureusement, des acteurs lumineux.
À Saint-Valery-sur-Somme, le vieux cafetier, Eugène, et son improbable tribu du café de la baie qui n'admet l'eau qu'à sa place, dans la mer, sauveront-ils Zhijiang de ses naufrages ? Confirmeront-ils qu'existent toujours des bribes d'humanité qui rougeoient sous la cendre ? Que les grands vents d'ouest soufflent dans les voiles des fabuleux équipages ! Que les bras puissants du Mongol les arrachent aux lagunes et à la baie de Somme infinie que la mer a désertée, l'instant, trop bref, d'une fierté retrouvée ! Jean Cot est l'auteur d'articles sur les travailleurs Chinois de Nolette, publiés dans les années 1980, sous le pseudonyme de Jean Darsigny.
Il leur consacre aujourd'hui un roman pour contribuer à éviter que l'oubli inacceptable ne finisse par les ensevelir pour l'éternité. Trente années auront été nécessaires car il n'est pas aisé de prendre par la main des hommes abîmés afin qu'ils nous murmurent ce que furent leurs tourments et nous révèlent ceux qui réussirent, peut-être, à les sauver de leurs naufrages.
À Saint-Valery-sur-Somme, le vieux cafetier, Eugène, et son improbable tribu du café de la baie qui n'admet l'eau qu'à sa place, dans la mer, sauveront-ils Zhijiang de ses naufrages ? Confirmeront-ils qu'existent toujours des bribes d'humanité qui rougeoient sous la cendre ? Que les grands vents d'ouest soufflent dans les voiles des fabuleux équipages ! Que les bras puissants du Mongol les arrachent aux lagunes et à la baie de Somme infinie que la mer a désertée, l'instant, trop bref, d'une fierté retrouvée ! Jean Cot est l'auteur d'articles sur les travailleurs Chinois de Nolette, publiés dans les années 1980, sous le pseudonyme de Jean Darsigny.
Il leur consacre aujourd'hui un roman pour contribuer à éviter que l'oubli inacceptable ne finisse par les ensevelir pour l'éternité. Trente années auront été nécessaires car il n'est pas aisé de prendre par la main des hommes abîmés afin qu'ils nous murmurent ce que furent leurs tourments et nous révèlent ceux qui réussirent, peut-être, à les sauver de leurs naufrages.









