Les artistes en France sous l'occupation. Cocteau, Van Dongen, Picasso, Utrillo, Maillol, Dina Vierny + bandeau Un officier allemand raconte

Par : Docteur Werner Lange

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages176
  • FormatePub
  • ISBN978-2-268-08054-3
  • EAN9782268080543
  • Date de parution04/05/2015
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille6 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurEditions du Rocher

Résumé

Werner Lange a écrit ces « mémoires » avant de se pendre. C'était un officier allemand francophile et cultivé. Les êtres qu'il évoque sont des monuments de l'histoire de l'art dont les chefs-d'oeuvre ornent les collections des plus grands musées. Mais ce sont aussi des hommes et des femmes qui collaborent avecl'occupant pour continuer à peindre, à exposer, à mieux manger tout simplement. Le caractère captivant de ces pages réside dans l'anecdotique, le quotidien, le « banal » de la vie de nos génies des arts sous l'occupation.
C'est ce côté indécent, « people » presque qui rend les souvenirs de Werner Lange si uniques. Le fait que les choses soient racontées par un officier de la Propagandastaffel pétri d'admiration pour les artistes dont il doit « s'occuper », donne au récit une intensité rare. L'amitié sincère qui le lie à Maillol, à Vlaminck, à Dina Vierny, ses relations intimes avec Derain, son dîner avec Picasso dans un clandé du marché noir, donnent lieu à des scènes inédites d'une richesse à laquelle peu de livres d'histoire peuvent prétendre.
Le don de conteur, l'acuité bienveillante du regard de ce témoin plongé dans un milieu fascinant à une époque particulièrement dramatique de l'histoire de France, tout cela fait qu'on lit les « mémoires » de Werner Lange comme on regarde un film.
Werner Lange a écrit ces « mémoires » avant de se pendre. C'était un officier allemand francophile et cultivé. Les êtres qu'il évoque sont des monuments de l'histoire de l'art dont les chefs-d'oeuvre ornent les collections des plus grands musées. Mais ce sont aussi des hommes et des femmes qui collaborent avecl'occupant pour continuer à peindre, à exposer, à mieux manger tout simplement. Le caractère captivant de ces pages réside dans l'anecdotique, le quotidien, le « banal » de la vie de nos génies des arts sous l'occupation.
C'est ce côté indécent, « people » presque qui rend les souvenirs de Werner Lange si uniques. Le fait que les choses soient racontées par un officier de la Propagandastaffel pétri d'admiration pour les artistes dont il doit « s'occuper », donne au récit une intensité rare. L'amitié sincère qui le lie à Maillol, à Vlaminck, à Dina Vierny, ses relations intimes avec Derain, son dîner avec Picasso dans un clandé du marché noir, donnent lieu à des scènes inédites d'une richesse à laquelle peu de livres d'histoire peuvent prétendre.
Le don de conteur, l'acuité bienveillante du regard de ce témoin plongé dans un milieu fascinant à une époque particulièrement dramatique de l'histoire de France, tout cela fait qu'on lit les « mémoires » de Werner Lange comme on regarde un film.