Les Armoires du souvenir

Par : Roger Faure
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  • FormatMulti-format
  • ISBN979-10-203-6543-9
  • EAN9791020365439
  • Date de parution20/12/2023
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
  • ÉditeurÉditions Baudelaire

Résumé

Roger Faure avait l'habitude de dire que sa vie était une véritable aventure. Né à Marseille d'une maman belge et d'un père cévenol, il grandit dans le petit village de Rustrel en Haute Provence (aujourd'hui surnommé le « Colorado provençal »). Dès 1942, son père postier entre dans la Résistance active, secondé de son épouse qui a déjà été déportée par les Allemands dans un camp de travail en 1916.
Ils échappent à une première arrestation en 1943, mais pas en janvier 1944. Sa mère est torturée sous ses yeux. Lui-même reçoit des coups. Il y perd son oreille droite. En août 1944, il assiste à un combat entre les maquisards conduits par son père, et l'armée allemande, à Murs. Il doit se réfugier dans le maquis avec sa mère. La guerre finie, il fait enfin la connaissance de la seule famille qu'il connaisse en Belgique à Charleroi (où son grand-père était mineur de fond).
Il ne se connaît pas de famille française, son père étant, comme l'a écrit Gilbert Cesbron « un chien perdu sans collier ». Il passe le concours des bourses et entre au collège d'Apt. En 1952, il suit ses parents en Algérie, son père étant nommé receveur des postes dans une palmeraie de Tolga. Il poursuit ses études à Batna, la capitale des Aurès. La guerre éclate le 1er novembre 1954 ; il échappe à deux attentats.
En 1955, il débarque au collège Cévenol au Chambon-sur-Lignon, passe son bac et rencontre Pierrette, la femme de sa vie.
Roger Faure avait l'habitude de dire que sa vie était une véritable aventure. Né à Marseille d'une maman belge et d'un père cévenol, il grandit dans le petit village de Rustrel en Haute Provence (aujourd'hui surnommé le « Colorado provençal »). Dès 1942, son père postier entre dans la Résistance active, secondé de son épouse qui a déjà été déportée par les Allemands dans un camp de travail en 1916.
Ils échappent à une première arrestation en 1943, mais pas en janvier 1944. Sa mère est torturée sous ses yeux. Lui-même reçoit des coups. Il y perd son oreille droite. En août 1944, il assiste à un combat entre les maquisards conduits par son père, et l'armée allemande, à Murs. Il doit se réfugier dans le maquis avec sa mère. La guerre finie, il fait enfin la connaissance de la seule famille qu'il connaisse en Belgique à Charleroi (où son grand-père était mineur de fond).
Il ne se connaît pas de famille française, son père étant, comme l'a écrit Gilbert Cesbron « un chien perdu sans collier ». Il passe le concours des bourses et entre au collège d'Apt. En 1952, il suit ses parents en Algérie, son père étant nommé receveur des postes dans une palmeraie de Tolga. Il poursuit ses études à Batna, la capitale des Aurès. La guerre éclate le 1er novembre 1954 ; il échappe à deux attentats.
En 1955, il débarque au collège Cévenol au Chambon-sur-Lignon, passe son bac et rencontre Pierrette, la femme de sa vie.