Nouveauté
Les Armes de la fiction
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- Nombre de pages384
- FormatePub
- ISBN978-2-8180-6433-7
- EAN9782818064337
- Date de parution06/11/2025
- Protection num.Adobe DRM
- Taille430 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPOL Editeur
Résumé
Ce volume fait suite aux Outils (P. O. L, 2003). Un nouveau recueil de textes de pensée, d'interventions, d'entretiens, pour dire l'action de la littérature sur le monde. Il s'agit d'accompagner « les nouvelles façons de voir, de sentir, de vivre, tous les nouveaux soulèvements, et les constructions, les nouveaux chantiers, même éphémères, urbanisme, musiques, rapports Nord-Sud, rapports hommes-femmes, adultes-enfants, rapports à la folie, à l'inconscient ».
Leslie Kaplan oppose au désordre du monde et à sa faillite, l'effet que l'art, la littérature, peuvent produire : enthousiasme, élan, désir, joie, pensée. La fiction « tient » quand elle peut nous concerner directement, ici et maintenant, nous impliquer. Elle est décisive dans le moment que nous traversons à l'échelle mondiale, et que Leslie Kaplan définit comme « le stade grotesque du capitalisme », caractérisé par un vide autoritaire, un arbitraire brutal érigé en système.
Dans la première partie de ce livre, elle revient sur des évènements récents symptomatiques de la scène politique actuelle, propos de Marine Le Pen, d'Emmanuel Macron, ou de Nicolas Sarkozy, ou d'Agnès Pannier-Runacher, procès France Télécom. Les deux parties suivantes font appel à des écrivains et des cinéastes dont le travail semble, pour l'autrice, éclairer le monde de maintenant. Par exemple, une réflexion sur une pièce de Büchner, Woyzeck, ou sur le travail de Kafka.
Ou des films de Rossellini, Jean-Luc Godard, Fritz Lang, Alain Resnais, qui ouvrent le regard du spectateur, sur l'Histoire, les difficultés de la démocratie. Comment, à travers toutes ces différentes formes, la fiction devient une « arme » pour penser qui nous sommes, où nous sommes, et peut-être, quoi faire.
Leslie Kaplan oppose au désordre du monde et à sa faillite, l'effet que l'art, la littérature, peuvent produire : enthousiasme, élan, désir, joie, pensée. La fiction « tient » quand elle peut nous concerner directement, ici et maintenant, nous impliquer. Elle est décisive dans le moment que nous traversons à l'échelle mondiale, et que Leslie Kaplan définit comme « le stade grotesque du capitalisme », caractérisé par un vide autoritaire, un arbitraire brutal érigé en système.
Dans la première partie de ce livre, elle revient sur des évènements récents symptomatiques de la scène politique actuelle, propos de Marine Le Pen, d'Emmanuel Macron, ou de Nicolas Sarkozy, ou d'Agnès Pannier-Runacher, procès France Télécom. Les deux parties suivantes font appel à des écrivains et des cinéastes dont le travail semble, pour l'autrice, éclairer le monde de maintenant. Par exemple, une réflexion sur une pièce de Büchner, Woyzeck, ou sur le travail de Kafka.
Ou des films de Rossellini, Jean-Luc Godard, Fritz Lang, Alain Resnais, qui ouvrent le regard du spectateur, sur l'Histoire, les difficultés de la démocratie. Comment, à travers toutes ces différentes formes, la fiction devient une « arme » pour penser qui nous sommes, où nous sommes, et peut-être, quoi faire.
Ce volume fait suite aux Outils (P. O. L, 2003). Un nouveau recueil de textes de pensée, d'interventions, d'entretiens, pour dire l'action de la littérature sur le monde. Il s'agit d'accompagner « les nouvelles façons de voir, de sentir, de vivre, tous les nouveaux soulèvements, et les constructions, les nouveaux chantiers, même éphémères, urbanisme, musiques, rapports Nord-Sud, rapports hommes-femmes, adultes-enfants, rapports à la folie, à l'inconscient ».
Leslie Kaplan oppose au désordre du monde et à sa faillite, l'effet que l'art, la littérature, peuvent produire : enthousiasme, élan, désir, joie, pensée. La fiction « tient » quand elle peut nous concerner directement, ici et maintenant, nous impliquer. Elle est décisive dans le moment que nous traversons à l'échelle mondiale, et que Leslie Kaplan définit comme « le stade grotesque du capitalisme », caractérisé par un vide autoritaire, un arbitraire brutal érigé en système.
Dans la première partie de ce livre, elle revient sur des évènements récents symptomatiques de la scène politique actuelle, propos de Marine Le Pen, d'Emmanuel Macron, ou de Nicolas Sarkozy, ou d'Agnès Pannier-Runacher, procès France Télécom. Les deux parties suivantes font appel à des écrivains et des cinéastes dont le travail semble, pour l'autrice, éclairer le monde de maintenant. Par exemple, une réflexion sur une pièce de Büchner, Woyzeck, ou sur le travail de Kafka.
Ou des films de Rossellini, Jean-Luc Godard, Fritz Lang, Alain Resnais, qui ouvrent le regard du spectateur, sur l'Histoire, les difficultés de la démocratie. Comment, à travers toutes ces différentes formes, la fiction devient une « arme » pour penser qui nous sommes, où nous sommes, et peut-être, quoi faire.
Leslie Kaplan oppose au désordre du monde et à sa faillite, l'effet que l'art, la littérature, peuvent produire : enthousiasme, élan, désir, joie, pensée. La fiction « tient » quand elle peut nous concerner directement, ici et maintenant, nous impliquer. Elle est décisive dans le moment que nous traversons à l'échelle mondiale, et que Leslie Kaplan définit comme « le stade grotesque du capitalisme », caractérisé par un vide autoritaire, un arbitraire brutal érigé en système.
Dans la première partie de ce livre, elle revient sur des évènements récents symptomatiques de la scène politique actuelle, propos de Marine Le Pen, d'Emmanuel Macron, ou de Nicolas Sarkozy, ou d'Agnès Pannier-Runacher, procès France Télécom. Les deux parties suivantes font appel à des écrivains et des cinéastes dont le travail semble, pour l'autrice, éclairer le monde de maintenant. Par exemple, une réflexion sur une pièce de Büchner, Woyzeck, ou sur le travail de Kafka.
Ou des films de Rossellini, Jean-Luc Godard, Fritz Lang, Alain Resnais, qui ouvrent le regard du spectateur, sur l'Histoire, les difficultés de la démocratie. Comment, à travers toutes ces différentes formes, la fiction devient une « arme » pour penser qui nous sommes, où nous sommes, et peut-être, quoi faire.






















