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  • Nombre de pages400
  • FormatePub
  • ISBN978-2-226-38373-0
  • EAN9782226383730
  • Date de parution02/01/2017
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurAlbin Michel
  • TraducteurMarina Boraso

Résumé

Niché au fin fond de l'Idaho, au coeur d'une nature sauvage, le refuge de Bill Reedrecueille les animaux blessés. Ce dernier y vit parmi les rapaces, les loups, les pumas et même un ours. Connu en ville comme le « sauveur » des bêtes, Bill est un homme à l'existence paisible, qui va bientôt épouser une vétérinaire de la région. Mais le retour inattendu d'un ami d'enfance fraîchement sorti de prison pourrait ternir sa réputation.
Rick est le seul à connaître le sombre passé de Bill, que ce dernier s'est acharné à cacher pendant toutes ces années. Pour préserver son secret et la vie qu'il a bâtie sur un mensonge, Bill est prêt à tout. Au fur et à mesure que la confrontation entre les deux hommes approche, inéluctable, l'épaisse forêt qui entoure le refuge, jadis rassurante, se fait de plus en plus menaçante... Dans le décor des grands espaces, un roman noir qui est aussi une superbe histoire de rédemption qui marque la naissance d'une nouvelle voix de la littérature américaine.« Un jeune écrivain au talent rare.
Une formidable découverte. »Richard Ford
Niché au fin fond de l'Idaho, au coeur d'une nature sauvage, le refuge de Bill Reedrecueille les animaux blessés. Ce dernier y vit parmi les rapaces, les loups, les pumas et même un ours. Connu en ville comme le « sauveur » des bêtes, Bill est un homme à l'existence paisible, qui va bientôt épouser une vétérinaire de la région. Mais le retour inattendu d'un ami d'enfance fraîchement sorti de prison pourrait ternir sa réputation.
Rick est le seul à connaître le sombre passé de Bill, que ce dernier s'est acharné à cacher pendant toutes ces années. Pour préserver son secret et la vie qu'il a bâtie sur un mensonge, Bill est prêt à tout. Au fur et à mesure que la confrontation entre les deux hommes approche, inéluctable, l'épaisse forêt qui entoure le refuge, jadis rassurante, se fait de plus en plus menaçante... Dans le décor des grands espaces, un roman noir qui est aussi une superbe histoire de rédemption qui marque la naissance d'une nouvelle voix de la littérature américaine.« Un jeune écrivain au talent rare.
Une formidable découverte. »Richard Ford

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Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
RECOMMANDÉ PAR CULTURE-CHRONIQUE
On se demande comment Francis Geffard, qui dirige la collection “Terres d’Amérique” chez Albin Michel, parvient à révéler autant de jeunes auteurs nord-américains. C’est lui qui nous a permis de découvrir Dan Chaon, David James Poissant, Louis Erdricht, Holly Goddard Jones et David Treuer et plusieurs dizaines d’autres. Geffard dispose d’au moins trois qualités qui en font un éditeur découvreur de talents : son flair littéraire le dirige vers des écrivains en devenir quelques années avant qu’ils rencontrent le succès, son goût pour des écritures fortes et sans concessions, un amour des récits qui examinent la condition humaine au coeur d’odyssées désespérées où depuis des villes perdues. Un travail de fond qui trace le sillon de l’excellence éditoriale au service de la meilleure littérature américaine. Geffard vient d'ajouter à la longue liste de ses découvertes le nom de Christian Kiefer dont le roman, “Les animaux”, vient d’être remarquablement traduit par Mérani Boraso. Kiefer a travaillé plusieurs versions de ce roman bénéficiant des conseils de Richard Ford, T.C Boyle, Pam Houston , Denis Johnson et T.C Boyle. Inutile de dire que l’écrivain ne s’est pas précipité pour publier reprenant inlassablement les différentes versions de son roman. Au terme de ce remarquable travail d’écriture nous héritons d’une oeuvre profondément noire immergée dans les grands espaces de l’Idaho là où la nature compte parmi des plus sauvages de l’Amérique du Nord. Le refuge de Bill Reed recueille des animaux sauvages depuis des années, des loups, des rapaces, des pumas et Majer un énorme grizzli. Bill aime cette activité qu’il partage avec Grace une vétérinaire avec laquelle il va se marier. Son existence est paisible mais son passé ne l’a pas toujours été. Le retour de Rick son ami d’enfance qui vient de sortir de prison va rebattre les cartes d’une existence qui semblait suivre un cours immuables. Rick, qui a partagé avec Bill une jeunesse de violence et de délinquance, est le seul à connaître toute son histoire. Jusqu’où Bill sera-t-il prêt à aller pour préserver cette vie qu’il a construit loin de ses errements de jeunesse? Comment faire quand toute son existence a été construite sur un mensonge? Christian Kiefer remonte le cours du passé et déplace ses pièces sur le grand échiquier de la morale, jouant de la psychologie des personnages avec une acuité qui entraîne le lecteur là où l’ombre s’étend sur les consciences. Le présent de Bill s’enfonce progressivement dans la profondeur des forêts qui environnent son refuge. Bill est-il encore maître de son destin? “Le animaux” est un grand roman de la rédemption, l’un de ceux qui associe le lecteur au combat d’un homme avec lui même. Il y a du Rick Bass chez Kiefer qui sait peindre la nature avec une précision et un sens de la poésie qui n’épargnent aucun sous bois, aucune clairière, reconnaissant chaque essence qui compose le peuple de la forêt. La densité de ce roman manifeste une personnalité littéraire hors du commun, l’un de ces écrivains dont la puissance d’écriture annonce une oeuvre de premier plan. Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE.COM)
On se demande comment Francis Geffard, qui dirige la collection “Terres d’Amérique” chez Albin Michel, parvient à révéler autant de jeunes auteurs nord-américains. C’est lui qui nous a permis de découvrir Dan Chaon, David James Poissant, Louis Erdricht, Holly Goddard Jones et David Treuer et plusieurs dizaines d’autres. Geffard dispose d’au moins trois qualités qui en font un éditeur découvreur de talents : son flair littéraire le dirige vers des écrivains en devenir quelques années avant qu’ils rencontrent le succès, son goût pour des écritures fortes et sans concessions, un amour des récits qui examinent la condition humaine au coeur d’odyssées désespérées où depuis des villes perdues. Un travail de fond qui trace le sillon de l’excellence éditoriale au service de la meilleure littérature américaine. Geffard vient d'ajouter à la longue liste de ses découvertes le nom de Christian Kiefer dont le roman, “Les animaux”, vient d’être remarquablement traduit par Mérani Boraso. Kiefer a travaillé plusieurs versions de ce roman bénéficiant des conseils de Richard Ford, T.C Boyle, Pam Houston , Denis Johnson et T.C Boyle. Inutile de dire que l’écrivain ne s’est pas précipité pour publier reprenant inlassablement les différentes versions de son roman. Au terme de ce remarquable travail d’écriture nous héritons d’une oeuvre profondément noire immergée dans les grands espaces de l’Idaho là où la nature compte parmi des plus sauvages de l’Amérique du Nord. Le refuge de Bill Reed recueille des animaux sauvages depuis des années, des loups, des rapaces, des pumas et Majer un énorme grizzli. Bill aime cette activité qu’il partage avec Grace une vétérinaire avec laquelle il va se marier. Son existence est paisible mais son passé ne l’a pas toujours été. Le retour de Rick son ami d’enfance qui vient de sortir de prison va rebattre les cartes d’une existence qui semblait suivre un cours immuables. Rick, qui a partagé avec Bill une jeunesse de violence et de délinquance, est le seul à connaître toute son histoire. Jusqu’où Bill sera-t-il prêt à aller pour préserver cette vie qu’il a construit loin de ses errements de jeunesse? Comment faire quand toute son existence a été construite sur un mensonge? Christian Kiefer remonte le cours du passé et déplace ses pièces sur le grand échiquier de la morale, jouant de la psychologie des personnages avec une acuité qui entraîne le lecteur là où l’ombre s’étend sur les consciences. Le présent de Bill s’enfonce progressivement dans la profondeur des forêts qui environnent son refuge. Bill est-il encore maître de son destin? “Le animaux” est un grand roman de la rédemption, l’un de ceux qui associe le lecteur au combat d’un homme avec lui même. Il y a du Rick Bass chez Kiefer qui sait peindre la nature avec une précision et un sens de la poésie qui n’épargnent aucun sous bois, aucune clairière, reconnaissant chaque essence qui compose le peuple de la forêt. La densité de ce roman manifeste une personnalité littéraire hors du commun, l’un de ces écrivains dont la puissance d’écriture annonce une oeuvre de premier plan. Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE.COM)