L'« invention des phénomènes » chez Leibniz consiste dans l'institution des apparences comme objets de science : les sciences mathématiques et physiques, loin de traiter seulement de réalités basiques et substantielles, comme le voulaient les prédécesseurs du philosophe, peuvent avoir à traiter de simples « phénomènes ». Ce changement profond de perspective tient à des motivations venues de domaines différents de la philosophie : métaphysique, physique, logique.
Le livre présente le rapport entre les apparences et les réalités plus basiques, et remonte ensuite aux phénomènes dans leur diversité, par exemple les couleurs.
L'« invention des phénomènes » chez Leibniz consiste dans l'institution des apparences comme objets de science : les sciences mathématiques et physiques, loin de traiter seulement de réalités basiques et substantielles, comme le voulaient les prédécesseurs du philosophe, peuvent avoir à traiter de simples « phénomènes ». Ce changement profond de perspective tient à des motivations venues de domaines différents de la philosophie : métaphysique, physique, logique.
Le livre présente le rapport entre les apparences et les réalités plus basiques, et remonte ensuite aux phénomènes dans leur diversité, par exemple les couleurs.