Lectures de poilus. Livres et journaux dans les tranchées, 1914-1918
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- Nombre de pages336
- FormatPDF
- ISBN978-2-7467-3747-1
- EAN9782746737471
- Date de parution04/09/2013
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe DRM
- Taille5 Mo
- Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
- ÉditeurAutrement
- PréfacierJohn Horne
Résumé
Malgré la boue, le froid et l'omniprésence de la mort, les poilus ont beaucoup lu, autant la presse que des livres. Pour s'informer, pour lutter contre l'ennui et la peur, pour mettre des mots sur l'indicible. Guerre et Paix de Tolstoï ou Le Feu de Barbusse, succès dès sa parution en 1917, rappellent aux soldats leur expérience vécue ; les ouvres de Jammes ou de Loti offrent une évasion bienvenue.
Du côté de la presse, la guerre renforce la prééminence des grands quotidiens nationaux, mais les soldats lisent aussi la presse illustrée, notamment La Vie parisienne, qui apporte un peu de légèreté. Croisant les sources officielles, les archives d'éditeurs et les témoignages, Benjamin Gilles nous permet d'être au plus près du ressenti des soldats. Se dessine ainsi un portrait renouvelé de nos poilus, plus érudits que l'on a tendance à le penser, bien moins sensibles au « bourrage de crâne » qu'on ne l'a dit, et travaillés sans cesse par le besoin de comprendre.
Une plongée au cour de la vie dans les tranchées et de l'époque tout entière.
Du côté de la presse, la guerre renforce la prééminence des grands quotidiens nationaux, mais les soldats lisent aussi la presse illustrée, notamment La Vie parisienne, qui apporte un peu de légèreté. Croisant les sources officielles, les archives d'éditeurs et les témoignages, Benjamin Gilles nous permet d'être au plus près du ressenti des soldats. Se dessine ainsi un portrait renouvelé de nos poilus, plus érudits que l'on a tendance à le penser, bien moins sensibles au « bourrage de crâne » qu'on ne l'a dit, et travaillés sans cesse par le besoin de comprendre.
Une plongée au cour de la vie dans les tranchées et de l'époque tout entière.
Malgré la boue, le froid et l'omniprésence de la mort, les poilus ont beaucoup lu, autant la presse que des livres. Pour s'informer, pour lutter contre l'ennui et la peur, pour mettre des mots sur l'indicible. Guerre et Paix de Tolstoï ou Le Feu de Barbusse, succès dès sa parution en 1917, rappellent aux soldats leur expérience vécue ; les ouvres de Jammes ou de Loti offrent une évasion bienvenue.
Du côté de la presse, la guerre renforce la prééminence des grands quotidiens nationaux, mais les soldats lisent aussi la presse illustrée, notamment La Vie parisienne, qui apporte un peu de légèreté. Croisant les sources officielles, les archives d'éditeurs et les témoignages, Benjamin Gilles nous permet d'être au plus près du ressenti des soldats. Se dessine ainsi un portrait renouvelé de nos poilus, plus érudits que l'on a tendance à le penser, bien moins sensibles au « bourrage de crâne » qu'on ne l'a dit, et travaillés sans cesse par le besoin de comprendre.
Une plongée au cour de la vie dans les tranchées et de l'époque tout entière.
Du côté de la presse, la guerre renforce la prééminence des grands quotidiens nationaux, mais les soldats lisent aussi la presse illustrée, notamment La Vie parisienne, qui apporte un peu de légèreté. Croisant les sources officielles, les archives d'éditeurs et les témoignages, Benjamin Gilles nous permet d'être au plus près du ressenti des soldats. Se dessine ainsi un portrait renouvelé de nos poilus, plus érudits que l'on a tendance à le penser, bien moins sensibles au « bourrage de crâne » qu'on ne l'a dit, et travaillés sans cesse par le besoin de comprendre.
Une plongée au cour de la vie dans les tranchées et de l'époque tout entière.