Le vrai visage du catharisme
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- Nombre de pages399
- FormatePub
- ISBN978-2-37291-014-9
- EAN9782372910149
- Date de parution20/04/2016
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- ÉditeurLa Louve
Résumé
Catharisme au vrai visage. visage humain, visage vivant. On ne trouvera pas ici une vaine construction de cette imagination « combleuse de vide » qui, depuis le début du XXe siècle, porte tant d'auteurs à fabriquer un catharisme mythologique à petits renforts de trésors cachés, de Graals pyrénéens, d'inédits de Platon ou de rêves bouddhistes.
Le catharisme fut l'un des grands courants du Moyen Âge chrétien : particulièrement, mais non exclusivement implanté en Occitanie, déraciné par le fer des armées catholiques, les procédures de Rome et les bûchers, il disparut de l'Histoire à la fin du XVe siècle, laissant, par-delà une longue oblitération, un message vivant, tiré de la mémoire des documents médiévaux.
Christianisme sans damnation éternelle et sans croix, le catharisme refusa le mal et la violence et crut en la bonté fondamentale de la nature humaine. Le vrai visage du catharisme, celui des Bons Hommes dont le bâton sonnait de bourg en château, de ville en désert clandestin, celui des croyantes entraînant ceux qu'elles aimaient dans leur aventure et dans leur foi, c'est le visage que les cathares nous montrent à travers le miroir dépoli des manuscrits et du temps.
Christianisme sans damnation éternelle et sans croix, le catharisme refusa le mal et la violence et crut en la bonté fondamentale de la nature humaine. Le vrai visage du catharisme, celui des Bons Hommes dont le bâton sonnait de bourg en château, de ville en désert clandestin, celui des croyantes entraînant ceux qu'elles aimaient dans leur aventure et dans leur foi, c'est le visage que les cathares nous montrent à travers le miroir dépoli des manuscrits et du temps.
Catharisme au vrai visage. visage humain, visage vivant. On ne trouvera pas ici une vaine construction de cette imagination « combleuse de vide » qui, depuis le début du XXe siècle, porte tant d'auteurs à fabriquer un catharisme mythologique à petits renforts de trésors cachés, de Graals pyrénéens, d'inédits de Platon ou de rêves bouddhistes.
Le catharisme fut l'un des grands courants du Moyen Âge chrétien : particulièrement, mais non exclusivement implanté en Occitanie, déraciné par le fer des armées catholiques, les procédures de Rome et les bûchers, il disparut de l'Histoire à la fin du XVe siècle, laissant, par-delà une longue oblitération, un message vivant, tiré de la mémoire des documents médiévaux.
Christianisme sans damnation éternelle et sans croix, le catharisme refusa le mal et la violence et crut en la bonté fondamentale de la nature humaine. Le vrai visage du catharisme, celui des Bons Hommes dont le bâton sonnait de bourg en château, de ville en désert clandestin, celui des croyantes entraînant ceux qu'elles aimaient dans leur aventure et dans leur foi, c'est le visage que les cathares nous montrent à travers le miroir dépoli des manuscrits et du temps.
Christianisme sans damnation éternelle et sans croix, le catharisme refusa le mal et la violence et crut en la bonté fondamentale de la nature humaine. Le vrai visage du catharisme, celui des Bons Hommes dont le bâton sonnait de bourg en château, de ville en désert clandestin, celui des croyantes entraînant ceux qu'elles aimaient dans leur aventure et dans leur foi, c'est le visage que les cathares nous montrent à travers le miroir dépoli des manuscrits et du temps.