Le Verbe ou la Vie. Doubrovsky et la dialectique de l'autofiction

Par : Guillaume Chabat
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages436
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-7297-1482-6
  • EAN9782729714826
  • Date de parution24/04/2025
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses universitaires de Lyon

Résumé

Le Monstre, ouvre majeure de Serge Doubrovsky (1928-2017), paraît pour la première fois en 1977 sous le titre Fils dans une version amputée des deux tiers ; il faut attendre 2014 pour que les éditions Grasset le publient sous sa forme initiale comptant 1 695 pages. Dans Le Verbe ou la Vie, Guillaume Chabat plaide pour une plus grande reconnaissance de cet immense Monstre, porté par une subjectivité radicale et une langue si neuve, si belle, si fracassante.
Convaincu qu'en bonne littérature, chaque partie est en rapport avec le tout, c'est à partir d'une lecture serrée et suivie de ce texte unique qu'il interroge, dans un style enlevé, accessible et non dénué d'humour, la totalité de l'ouvre doubrovskienne. Une ouvre au sens profondément tragique en ce qu'elle montre la Vie prise dans une dialectique interminable avec le Verbe, et donc la mort. Une ouvre à la portée révolutionnaire aussi qui ne redéfinit rien de moins que les conditions de possibilité ou d'impossibilité de l'autobiographie à l'ère postfreudienne.
L'autofiction est son nom.
Le Monstre, ouvre majeure de Serge Doubrovsky (1928-2017), paraît pour la première fois en 1977 sous le titre Fils dans une version amputée des deux tiers ; il faut attendre 2014 pour que les éditions Grasset le publient sous sa forme initiale comptant 1 695 pages. Dans Le Verbe ou la Vie, Guillaume Chabat plaide pour une plus grande reconnaissance de cet immense Monstre, porté par une subjectivité radicale et une langue si neuve, si belle, si fracassante.
Convaincu qu'en bonne littérature, chaque partie est en rapport avec le tout, c'est à partir d'une lecture serrée et suivie de ce texte unique qu'il interroge, dans un style enlevé, accessible et non dénué d'humour, la totalité de l'ouvre doubrovskienne. Une ouvre au sens profondément tragique en ce qu'elle montre la Vie prise dans une dialectique interminable avec le Verbe, et donc la mort. Une ouvre à la portée révolutionnaire aussi qui ne redéfinit rien de moins que les conditions de possibilité ou d'impossibilité de l'autobiographie à l'ère postfreudienne.
L'autofiction est son nom.