Le treizième apôtre. Ce que dit vraiment l'Evangile de Judas
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- Nombre de pages225
- FormatPDF
- ISBN978-2-84162-192-7
- EAN9782841621927
- Date de parution19/06/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurL'Eclat
- TraducteurGilles Firmin
Résumé
En 2006, le National Geographic publie la première traduction anglaise de l'Évangile de Judas à partir d'un manuscrit du IIe siècle découvert en Égypte en 1970. Cette traduction est un événement, relayé par les traductions successives (dont notamment celle française publiée chez Flammarion à partir de l'anglais) dans la mesure où le texte semble bouleverser l'image que l'on se faisait de Judas, qui de traître, devient bienveillant et ami de Jésus, au point d'être considéré désormais comme le treizième apôtre.
Hélas pour le « département des réhabilitations », la traduction proposée par le National Geographic s'est avérée extrêmement fautive et peut-être même volontairement fautive, comme s'il fallait par ce renversement de perspective, réhabiliter Judas au nom d'une nouvelle fraternité interreligieuse. Madame DeConick retrace non seulement l'histoire de ce manuscrit, mais relève les nombreuses erreurs de traduction pour proposer à son tour une traduction nouvelle et ouvre un débat passionnant sur les intérêts politiques qui, au nom d'une modernité ocuménique, se permet de falsifier les sources historiques.
Hélas pour le « département des réhabilitations », la traduction proposée par le National Geographic s'est avérée extrêmement fautive et peut-être même volontairement fautive, comme s'il fallait par ce renversement de perspective, réhabiliter Judas au nom d'une nouvelle fraternité interreligieuse. Madame DeConick retrace non seulement l'histoire de ce manuscrit, mais relève les nombreuses erreurs de traduction pour proposer à son tour une traduction nouvelle et ouvre un débat passionnant sur les intérêts politiques qui, au nom d'une modernité ocuménique, se permet de falsifier les sources historiques.
En 2006, le National Geographic publie la première traduction anglaise de l'Évangile de Judas à partir d'un manuscrit du IIe siècle découvert en Égypte en 1970. Cette traduction est un événement, relayé par les traductions successives (dont notamment celle française publiée chez Flammarion à partir de l'anglais) dans la mesure où le texte semble bouleverser l'image que l'on se faisait de Judas, qui de traître, devient bienveillant et ami de Jésus, au point d'être considéré désormais comme le treizième apôtre.
Hélas pour le « département des réhabilitations », la traduction proposée par le National Geographic s'est avérée extrêmement fautive et peut-être même volontairement fautive, comme s'il fallait par ce renversement de perspective, réhabiliter Judas au nom d'une nouvelle fraternité interreligieuse. Madame DeConick retrace non seulement l'histoire de ce manuscrit, mais relève les nombreuses erreurs de traduction pour proposer à son tour une traduction nouvelle et ouvre un débat passionnant sur les intérêts politiques qui, au nom d'une modernité ocuménique, se permet de falsifier les sources historiques.
Hélas pour le « département des réhabilitations », la traduction proposée par le National Geographic s'est avérée extrêmement fautive et peut-être même volontairement fautive, comme s'il fallait par ce renversement de perspective, réhabiliter Judas au nom d'une nouvelle fraternité interreligieuse. Madame DeConick retrace non seulement l'histoire de ce manuscrit, mais relève les nombreuses erreurs de traduction pour proposer à son tour une traduction nouvelle et ouvre un débat passionnant sur les intérêts politiques qui, au nom d'une modernité ocuménique, se permet de falsifier les sources historiques.