Le travail ouvrier
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages234
- FormatPDF
- ISBN2-296-39151-6
- EAN9782296391512
- Date de parution01/06/1999
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille8 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Voici le troisième tome de la série sur la classe ouvrière rééditée, après La culture ouvrière et L'espace ouvrier. Il s'agit maintenant du point de départ de la série : Le travail ouvrier. Depuis sa première édition, la situation de la classe ouvrière a subi des transformations importantes, sans rendre pour autant obsolètes les analyses de ce livre devenu un classique.
Michel Verret présente cette évolution.
Vingt ans : si peu dans l'Histoire - un dixième du temps de la classe ouvrière industrielle... Assez pourtant pour que le Capital soit redevenu le Maître du Monde, pour que la classe ouvrière perde l'essentiel de ses conquêtes sur ce siècle... Au point qu'à l'instruction près, on pourrait la dire revenue à ses origines... En vérité, elle ne les avait pas quittées de si loin peut-être, à la cime même de son âge classique, en ces années 1975, où fut écrit le livre.
Car l'exploitation des ouvriers ne renouvelait alors ses formes qu'en la perpétuant - en y dessinant même les lignes de pente de la crise générale de classe, à laquelle ils se confrontent aujourd'hui... Mais aussi le passé ne s'efface-t-il jamais sans survivre en quelque mémoire. Perdant ses droits, la classe ouvrière se souvient de les avoir eus. Défaite de ses utopies, elle n'est rendue à l'oppression nue qu'en une lucidité critique, où se nourrit un refus... Du travail ? Du travail salarié ? Du travail inhumain ? Ce serait à l'humanité, notre humanité, de le dire...
Vingt ans : si peu dans l'Histoire - un dixième du temps de la classe ouvrière industrielle... Assez pourtant pour que le Capital soit redevenu le Maître du Monde, pour que la classe ouvrière perde l'essentiel de ses conquêtes sur ce siècle... Au point qu'à l'instruction près, on pourrait la dire revenue à ses origines... En vérité, elle ne les avait pas quittées de si loin peut-être, à la cime même de son âge classique, en ces années 1975, où fut écrit le livre.
Car l'exploitation des ouvriers ne renouvelait alors ses formes qu'en la perpétuant - en y dessinant même les lignes de pente de la crise générale de classe, à laquelle ils se confrontent aujourd'hui... Mais aussi le passé ne s'efface-t-il jamais sans survivre en quelque mémoire. Perdant ses droits, la classe ouvrière se souvient de les avoir eus. Défaite de ses utopies, elle n'est rendue à l'oppression nue qu'en une lucidité critique, où se nourrit un refus... Du travail ? Du travail salarié ? Du travail inhumain ? Ce serait à l'humanité, notre humanité, de le dire...
Voici le troisième tome de la série sur la classe ouvrière rééditée, après La culture ouvrière et L'espace ouvrier. Il s'agit maintenant du point de départ de la série : Le travail ouvrier. Depuis sa première édition, la situation de la classe ouvrière a subi des transformations importantes, sans rendre pour autant obsolètes les analyses de ce livre devenu un classique.
Michel Verret présente cette évolution.
Vingt ans : si peu dans l'Histoire - un dixième du temps de la classe ouvrière industrielle... Assez pourtant pour que le Capital soit redevenu le Maître du Monde, pour que la classe ouvrière perde l'essentiel de ses conquêtes sur ce siècle... Au point qu'à l'instruction près, on pourrait la dire revenue à ses origines... En vérité, elle ne les avait pas quittées de si loin peut-être, à la cime même de son âge classique, en ces années 1975, où fut écrit le livre.
Car l'exploitation des ouvriers ne renouvelait alors ses formes qu'en la perpétuant - en y dessinant même les lignes de pente de la crise générale de classe, à laquelle ils se confrontent aujourd'hui... Mais aussi le passé ne s'efface-t-il jamais sans survivre en quelque mémoire. Perdant ses droits, la classe ouvrière se souvient de les avoir eus. Défaite de ses utopies, elle n'est rendue à l'oppression nue qu'en une lucidité critique, où se nourrit un refus... Du travail ? Du travail salarié ? Du travail inhumain ? Ce serait à l'humanité, notre humanité, de le dire...
Vingt ans : si peu dans l'Histoire - un dixième du temps de la classe ouvrière industrielle... Assez pourtant pour que le Capital soit redevenu le Maître du Monde, pour que la classe ouvrière perde l'essentiel de ses conquêtes sur ce siècle... Au point qu'à l'instruction près, on pourrait la dire revenue à ses origines... En vérité, elle ne les avait pas quittées de si loin peut-être, à la cime même de son âge classique, en ces années 1975, où fut écrit le livre.
Car l'exploitation des ouvriers ne renouvelait alors ses formes qu'en la perpétuant - en y dessinant même les lignes de pente de la crise générale de classe, à laquelle ils se confrontent aujourd'hui... Mais aussi le passé ne s'efface-t-il jamais sans survivre en quelque mémoire. Perdant ses droits, la classe ouvrière se souvient de les avoir eus. Défaite de ses utopies, elle n'est rendue à l'oppression nue qu'en une lucidité critique, où se nourrit un refus... Du travail ? Du travail salarié ? Du travail inhumain ? Ce serait à l'humanité, notre humanité, de le dire...