Le travail. Hegel, Marx, Weber, Arendt
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- Nombre de pages170
- FormatePub
- ISBN2-200-35662-5
- EAN9782200356620
- Date de parution01/07/2005
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille228 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurArmand Colin
Résumé
Le travail détermine toute notre existence. Sa réalité obsédante, l'impossibilité croissante où nous sommes d'en faire abstraction pour penser le devenir du monde et de l'humanité lui donnent un statut de fausse évidence qui contribue à en occulter la compréhension et lance un défi majeur au philosophe. Analyse de la notionAu-delà de la nécessité vitale, le travail est à l'origine des transformations de l'homme et de son environnement.
Loin d'assurer la répétition d'un rapport identique de l'homme à la nature, il en détermine une évolution sans répit et rejaillit constamment en travail de l'homme sur soi tout autant qu'il s'impose comme l'enjeu central des conflits et des partages souvent douloureux de la richesse produite dont nos sociétés sont le reflet.Étude de textesDans la 3e partie des Principes de la philosophie du droit, Hegel propose une synthèse remarquable du rôle pivot du travail au sein de la société civile.
Marx, dans Le Capital, reprend l'idée hégélienne de la nature dialectique du travail, mais en la rapportant à un postulat matérialiste : le passage du livre I où sont envisagés le développement de la valeur-travail et le « fétichisme de la forme marchandise » en fournit une illustration exemplaire. Max Weber, dans L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme, offre un contrepoint intéressant au matérialisme marxiste.
Enfin, l'étude d'Hannah Arendt sur La condition de l'homme moderne aide à repenser la réalité désormais omniprésente d'une activité laborieuse où l'homme court le risque de se perdre lui-même. Christophe Rogue, ancien élève de l'École Normale Supérieure, est agrégé et docteur en philosophie. Spécialiste des origines de la pensée économique, il a collaboré à divers ouvrages de philosophie. Il est l'auteur chez Armand Colin d'un livre de présentation de la philosophie platonicienne (Comprendre Platon, 2002).
Loin d'assurer la répétition d'un rapport identique de l'homme à la nature, il en détermine une évolution sans répit et rejaillit constamment en travail de l'homme sur soi tout autant qu'il s'impose comme l'enjeu central des conflits et des partages souvent douloureux de la richesse produite dont nos sociétés sont le reflet.Étude de textesDans la 3e partie des Principes de la philosophie du droit, Hegel propose une synthèse remarquable du rôle pivot du travail au sein de la société civile.
Marx, dans Le Capital, reprend l'idée hégélienne de la nature dialectique du travail, mais en la rapportant à un postulat matérialiste : le passage du livre I où sont envisagés le développement de la valeur-travail et le « fétichisme de la forme marchandise » en fournit une illustration exemplaire. Max Weber, dans L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme, offre un contrepoint intéressant au matérialisme marxiste.
Enfin, l'étude d'Hannah Arendt sur La condition de l'homme moderne aide à repenser la réalité désormais omniprésente d'une activité laborieuse où l'homme court le risque de se perdre lui-même. Christophe Rogue, ancien élève de l'École Normale Supérieure, est agrégé et docteur en philosophie. Spécialiste des origines de la pensée économique, il a collaboré à divers ouvrages de philosophie. Il est l'auteur chez Armand Colin d'un livre de présentation de la philosophie platonicienne (Comprendre Platon, 2002).
Le travail détermine toute notre existence. Sa réalité obsédante, l'impossibilité croissante où nous sommes d'en faire abstraction pour penser le devenir du monde et de l'humanité lui donnent un statut de fausse évidence qui contribue à en occulter la compréhension et lance un défi majeur au philosophe. Analyse de la notionAu-delà de la nécessité vitale, le travail est à l'origine des transformations de l'homme et de son environnement.
Loin d'assurer la répétition d'un rapport identique de l'homme à la nature, il en détermine une évolution sans répit et rejaillit constamment en travail de l'homme sur soi tout autant qu'il s'impose comme l'enjeu central des conflits et des partages souvent douloureux de la richesse produite dont nos sociétés sont le reflet.Étude de textesDans la 3e partie des Principes de la philosophie du droit, Hegel propose une synthèse remarquable du rôle pivot du travail au sein de la société civile.
Marx, dans Le Capital, reprend l'idée hégélienne de la nature dialectique du travail, mais en la rapportant à un postulat matérialiste : le passage du livre I où sont envisagés le développement de la valeur-travail et le « fétichisme de la forme marchandise » en fournit une illustration exemplaire. Max Weber, dans L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme, offre un contrepoint intéressant au matérialisme marxiste.
Enfin, l'étude d'Hannah Arendt sur La condition de l'homme moderne aide à repenser la réalité désormais omniprésente d'une activité laborieuse où l'homme court le risque de se perdre lui-même. Christophe Rogue, ancien élève de l'École Normale Supérieure, est agrégé et docteur en philosophie. Spécialiste des origines de la pensée économique, il a collaboré à divers ouvrages de philosophie. Il est l'auteur chez Armand Colin d'un livre de présentation de la philosophie platonicienne (Comprendre Platon, 2002).
Loin d'assurer la répétition d'un rapport identique de l'homme à la nature, il en détermine une évolution sans répit et rejaillit constamment en travail de l'homme sur soi tout autant qu'il s'impose comme l'enjeu central des conflits et des partages souvent douloureux de la richesse produite dont nos sociétés sont le reflet.Étude de textesDans la 3e partie des Principes de la philosophie du droit, Hegel propose une synthèse remarquable du rôle pivot du travail au sein de la société civile.
Marx, dans Le Capital, reprend l'idée hégélienne de la nature dialectique du travail, mais en la rapportant à un postulat matérialiste : le passage du livre I où sont envisagés le développement de la valeur-travail et le « fétichisme de la forme marchandise » en fournit une illustration exemplaire. Max Weber, dans L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme, offre un contrepoint intéressant au matérialisme marxiste.
Enfin, l'étude d'Hannah Arendt sur La condition de l'homme moderne aide à repenser la réalité désormais omniprésente d'une activité laborieuse où l'homme court le risque de se perdre lui-même. Christophe Rogue, ancien élève de l'École Normale Supérieure, est agrégé et docteur en philosophie. Spécialiste des origines de la pensée économique, il a collaboré à divers ouvrages de philosophie. Il est l'auteur chez Armand Colin d'un livre de présentation de la philosophie platonicienne (Comprendre Platon, 2002).