Le thanatopos, une utopie ?. Penser un lieu pour le défunt avant les funérailles
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- Nombre de pages120
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-342-15724-6
- EAN9782342157246
- Date de parution17/11/2017
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurConnaissances & Savoirs
- PréfacierJean Arthuis
Résumé
Les architectures mortuaires invitent à la réflexion. Ces espaces, dans les établissements sanitaires publics, sont héritages de notre histoire et disposent de peu de moyens. On les contourne, on les évite. Pourtant, page après page, pierre après pierre, va se construire l'utopique « thanatopos ». Cet ouvrage vise à penser un lieu « éthique » où il serait possible d'installer le défunt avant les funérailles.
A partir de la notion de lieu, le « topos », il s'agit d'avancer aux limites, de cheminer à travers le labyrinthe et pénétrer ces murs jusqu'à l'intime. Alors que la mort est violence faite à l'homme, le tabou est une réponse apportée par les hommes, le sacré est l'autre porte à ouvrir. Regards philosophiques et politiques se croisent pour qu'ici l'atmosphère ne soit plus épaisseur mais que l'ombre se dérobe à la nuit et qu'au fil de la plume se dégage une nouvelle clarté.
Comme la flamme vacillante se pose sur ces yeux clos, la pensée peu à peu emplit ces lieux d'une nouvelle lueur. La chambre s'enveloppe d'un manteau de sommeil et apporte au visiteur un nouveau souffle. Le murmure des mots cherche écho dans le silence. Doucement, les murs s'imprègnent de sérénité et diffusent un sentiment de paix. Imperceptiblement, en ce « thanatopos » s'immisce la vie. Est-ce folie que de penser notre société capable d'une telle création? Est-ce là une utopie ?
A partir de la notion de lieu, le « topos », il s'agit d'avancer aux limites, de cheminer à travers le labyrinthe et pénétrer ces murs jusqu'à l'intime. Alors que la mort est violence faite à l'homme, le tabou est une réponse apportée par les hommes, le sacré est l'autre porte à ouvrir. Regards philosophiques et politiques se croisent pour qu'ici l'atmosphère ne soit plus épaisseur mais que l'ombre se dérobe à la nuit et qu'au fil de la plume se dégage une nouvelle clarté.
Comme la flamme vacillante se pose sur ces yeux clos, la pensée peu à peu emplit ces lieux d'une nouvelle lueur. La chambre s'enveloppe d'un manteau de sommeil et apporte au visiteur un nouveau souffle. Le murmure des mots cherche écho dans le silence. Doucement, les murs s'imprègnent de sérénité et diffusent un sentiment de paix. Imperceptiblement, en ce « thanatopos » s'immisce la vie. Est-ce folie que de penser notre société capable d'une telle création? Est-ce là une utopie ?
Les architectures mortuaires invitent à la réflexion. Ces espaces, dans les établissements sanitaires publics, sont héritages de notre histoire et disposent de peu de moyens. On les contourne, on les évite. Pourtant, page après page, pierre après pierre, va se construire l'utopique « thanatopos ». Cet ouvrage vise à penser un lieu « éthique » où il serait possible d'installer le défunt avant les funérailles.
A partir de la notion de lieu, le « topos », il s'agit d'avancer aux limites, de cheminer à travers le labyrinthe et pénétrer ces murs jusqu'à l'intime. Alors que la mort est violence faite à l'homme, le tabou est une réponse apportée par les hommes, le sacré est l'autre porte à ouvrir. Regards philosophiques et politiques se croisent pour qu'ici l'atmosphère ne soit plus épaisseur mais que l'ombre se dérobe à la nuit et qu'au fil de la plume se dégage une nouvelle clarté.
Comme la flamme vacillante se pose sur ces yeux clos, la pensée peu à peu emplit ces lieux d'une nouvelle lueur. La chambre s'enveloppe d'un manteau de sommeil et apporte au visiteur un nouveau souffle. Le murmure des mots cherche écho dans le silence. Doucement, les murs s'imprègnent de sérénité et diffusent un sentiment de paix. Imperceptiblement, en ce « thanatopos » s'immisce la vie. Est-ce folie que de penser notre société capable d'une telle création? Est-ce là une utopie ?
A partir de la notion de lieu, le « topos », il s'agit d'avancer aux limites, de cheminer à travers le labyrinthe et pénétrer ces murs jusqu'à l'intime. Alors que la mort est violence faite à l'homme, le tabou est une réponse apportée par les hommes, le sacré est l'autre porte à ouvrir. Regards philosophiques et politiques se croisent pour qu'ici l'atmosphère ne soit plus épaisseur mais que l'ombre se dérobe à la nuit et qu'au fil de la plume se dégage une nouvelle clarté.
Comme la flamme vacillante se pose sur ces yeux clos, la pensée peu à peu emplit ces lieux d'une nouvelle lueur. La chambre s'enveloppe d'un manteau de sommeil et apporte au visiteur un nouveau souffle. Le murmure des mots cherche écho dans le silence. Doucement, les murs s'imprègnent de sérénité et diffusent un sentiment de paix. Imperceptiblement, en ce « thanatopos » s'immisce la vie. Est-ce folie que de penser notre société capable d'une telle création? Est-ce là une utopie ?