Le temps des épreuves, 1939-1945. Histoire d'une famille polonaise au cours de la Deuxième Guerre Mondiale
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- Nombre de pages212
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-43393-9
- EAN9782296433939
- Date de parution15/10/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille54 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- TraducteurWladyslaw Tarnowski
- TraducteurCéline Gervais-Francelle
- PréfacierLeszek Talko
- PostfacierZofia Zdziarska-Kosch
Résumé
Épouse de Zygmunt Lubicz-Zaleski, écrivain, poète, professeur, grand passeur culturel entre la France et la Pologne, Maria Zdziarska-Zaleska, docteur en médecine, vit à Paris, entourée de ses quatre enfants. La famille passe chaque été en Pologne, mais en septembre 1939, elle se trouve prise au piège de la guerre. Début 1940 son époux rejoint clandestinement le gouvernement polonais en France, accompagné de son fils aîné.
Restée seule avec trois enfants, ses biens fonciers confisqués par l'occupant, Maria Zdziarska-Zaleska renoue avec sa profession de médecin pour faire vivre sa famille et rejoint en mars 1942 la Résistance, comme médecin militaire. Arrêtée en 1944, déportée à Ravensbrück, elle soutient et soigne ses compagnes de captivité. Prenant constamment la défense de ses malades, elle s'oppose à sa chef de bloc, ce qui lui vaut d'être transférée au camp disciplinaire de Grüneberg.
Sa compassion et son action s'étendaient à tous : à une délégation de communistes françaises venues la remercier d'avoir soigné l'une des leurs au prix de véritables prouesses, elle répondit que pour elle " il n 'y avait ni communistes ni fascistes ni anarchistes parmi (s)es malades, tout comme il n'y avait ni Françaises ni Polonaises ni même Allemandes ou Russes. Il n'y avait que des malades qui avaient droit à (s)on dévouement et à (s)a bienveillance ".
Restée seule avec trois enfants, ses biens fonciers confisqués par l'occupant, Maria Zdziarska-Zaleska renoue avec sa profession de médecin pour faire vivre sa famille et rejoint en mars 1942 la Résistance, comme médecin militaire. Arrêtée en 1944, déportée à Ravensbrück, elle soutient et soigne ses compagnes de captivité. Prenant constamment la défense de ses malades, elle s'oppose à sa chef de bloc, ce qui lui vaut d'être transférée au camp disciplinaire de Grüneberg.
Sa compassion et son action s'étendaient à tous : à une délégation de communistes françaises venues la remercier d'avoir soigné l'une des leurs au prix de véritables prouesses, elle répondit que pour elle " il n 'y avait ni communistes ni fascistes ni anarchistes parmi (s)es malades, tout comme il n'y avait ni Françaises ni Polonaises ni même Allemandes ou Russes. Il n'y avait que des malades qui avaient droit à (s)on dévouement et à (s)a bienveillance ".
Épouse de Zygmunt Lubicz-Zaleski, écrivain, poète, professeur, grand passeur culturel entre la France et la Pologne, Maria Zdziarska-Zaleska, docteur en médecine, vit à Paris, entourée de ses quatre enfants. La famille passe chaque été en Pologne, mais en septembre 1939, elle se trouve prise au piège de la guerre. Début 1940 son époux rejoint clandestinement le gouvernement polonais en France, accompagné de son fils aîné.
Restée seule avec trois enfants, ses biens fonciers confisqués par l'occupant, Maria Zdziarska-Zaleska renoue avec sa profession de médecin pour faire vivre sa famille et rejoint en mars 1942 la Résistance, comme médecin militaire. Arrêtée en 1944, déportée à Ravensbrück, elle soutient et soigne ses compagnes de captivité. Prenant constamment la défense de ses malades, elle s'oppose à sa chef de bloc, ce qui lui vaut d'être transférée au camp disciplinaire de Grüneberg.
Sa compassion et son action s'étendaient à tous : à une délégation de communistes françaises venues la remercier d'avoir soigné l'une des leurs au prix de véritables prouesses, elle répondit que pour elle " il n 'y avait ni communistes ni fascistes ni anarchistes parmi (s)es malades, tout comme il n'y avait ni Françaises ni Polonaises ni même Allemandes ou Russes. Il n'y avait que des malades qui avaient droit à (s)on dévouement et à (s)a bienveillance ".
Restée seule avec trois enfants, ses biens fonciers confisqués par l'occupant, Maria Zdziarska-Zaleska renoue avec sa profession de médecin pour faire vivre sa famille et rejoint en mars 1942 la Résistance, comme médecin militaire. Arrêtée en 1944, déportée à Ravensbrück, elle soutient et soigne ses compagnes de captivité. Prenant constamment la défense de ses malades, elle s'oppose à sa chef de bloc, ce qui lui vaut d'être transférée au camp disciplinaire de Grüneberg.
Sa compassion et son action s'étendaient à tous : à une délégation de communistes françaises venues la remercier d'avoir soigné l'une des leurs au prix de véritables prouesses, elle répondit que pour elle " il n 'y avait ni communistes ni fascistes ni anarchistes parmi (s)es malades, tout comme il n'y avait ni Françaises ni Polonaises ni même Allemandes ou Russes. Il n'y avait que des malades qui avaient droit à (s)on dévouement et à (s)a bienveillance ".