Le souverain bien chez Kant

Par : Laurent Gallois

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages272
  • FormatePub
  • ISBN978-2-345-00048-8
  • EAN9782345000488
  • Date de parution27/10/2008
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille881 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurSens et Tonka

Résumé

Le souverain bien a chez Kant un rôle non limité à celui, généralement reconnu et discuté, qu'il occupe dans la Dialectique de la deuxième Critique. Le parcours de l'ouvre publiée montre qu'il endosse et assume, dès son émergence dans la première Critique, une fonction critique, opératoire dans tout le développement ultérieur de la philosophie kantienne : elle en structure le programme même. Plus précisément, le souverain bien intervient à chaque moment de ce programme, en particulier quand la raison traite de l'espérance de l'homme et de son amélioration morale du point de vue du droit et de la vertu.
Espérance et amélioration morale de l'homme s'imposent, en effet pour Kant, comme tâches historiques d'une raison qui, par l'union de ses usages spéculatif et pratique, embrasse la totalité de la vie humaine et travaille à imprimer la marque d'un sens dans le monde. Impliqué dans ces deux tâches avec toute sa fonction critique, le souverain bien se comprend comme ce qu'il est permis à l'homme d'espérer : la raison répondant, par l'histoire, à l'espérance humaine; l'histoire prenant forme de récit où se (re)présente la réalisation effective du souverain bien, en un monde alors sensé. Docteur en philosophie de l'Université Paris X - Nanterre, Laurent Gallois enseigne la philosophie au Centre Sèvres - Facultés Jésuites de Paris et est rédacteur aux Archives de Philosophie.
Le souverain bien a chez Kant un rôle non limité à celui, généralement reconnu et discuté, qu'il occupe dans la Dialectique de la deuxième Critique. Le parcours de l'ouvre publiée montre qu'il endosse et assume, dès son émergence dans la première Critique, une fonction critique, opératoire dans tout le développement ultérieur de la philosophie kantienne : elle en structure le programme même. Plus précisément, le souverain bien intervient à chaque moment de ce programme, en particulier quand la raison traite de l'espérance de l'homme et de son amélioration morale du point de vue du droit et de la vertu.
Espérance et amélioration morale de l'homme s'imposent, en effet pour Kant, comme tâches historiques d'une raison qui, par l'union de ses usages spéculatif et pratique, embrasse la totalité de la vie humaine et travaille à imprimer la marque d'un sens dans le monde. Impliqué dans ces deux tâches avec toute sa fonction critique, le souverain bien se comprend comme ce qu'il est permis à l'homme d'espérer : la raison répondant, par l'histoire, à l'espérance humaine; l'histoire prenant forme de récit où se (re)présente la réalisation effective du souverain bien, en un monde alors sensé. Docteur en philosophie de l'Université Paris X - Nanterre, Laurent Gallois enseigne la philosophie au Centre Sèvres - Facultés Jésuites de Paris et est rédacteur aux Archives de Philosophie.
Faust, première partie
109,00 €
Faust, première partie
58,00 €