Le souper de l'abbesse

Par : Jean Siccardi

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  • Nombre de pages246
  • FormatePub
  • ISBN978-2-258-10275-0
  • EAN9782258102750
  • Date de parution14/02/2013
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille1 Mo
  • ÉditeurPresses de la Cité

Résumé

AuXVIesiècle, des religieuses trop puissantes aux yeux du clergé marseillais sont accusées de débauche. Vrai, faux ? Une histoire qui met en lumière le combat de femmes pour vivre leur religion selon leur vou. « - Des usurières, des femmes habiles en droit, des dévoreuses insatiables ! Depuis des siècles, elles nous mènent la vie dure, nous spolient, nous ridiculisent, apitoient évêques et papes en invoquant le seul prétexte qu'elles sont de pauvres moniales, et qu'elles subissent toutes les injustices que le seigneur a fait naître sur cette sainte terre.
Elles savent faire parler d'elle. Elles prêchent, osent distribuer les sacrements et montrer à leur façon la voie du salut. Mon pauvre Cornélius, s'il n' y avait pas les femmes, nous aurions tout pour rien, l'existence serait sereine, mais en réalité c'est pisser chaud pour boire froid. » Au XVIe siècle, en Provence, le moine Cornélius est mandaté par l'abbaye de Saint-Victor à Marseille pour enquêter sur les religieuses du couvent de la Celle, près de Brignoles.
Les plus hautes sphères du royaume et du clergé veulent fermer ce lieu réputé malsain et si peu catholique, réputé pour ses débauches. Enviées et jalousées car indépendantes et puissantes, les bénédictines de la Celle, toutes issues de l'aristocratie, sont accusées des plaisirs de la chair et autres vices. Cette mauvaise réputation remonte à Garsende de Sabran, la première abbesse, qui, au XIIIe siècle, fit du couvent une abbaye royale prestigieuse jouissant, fait exceptionnel, de la protection des papes.
Un statut et une puissance intolérables pour les hommes du clergé de Saint-Victor autant que pour le pouvoir royal, Mazarin en tête, et qu'ils entendront remettre en question, par tous les moyens. Y compris la calomnie. .
AuXVIesiècle, des religieuses trop puissantes aux yeux du clergé marseillais sont accusées de débauche. Vrai, faux ? Une histoire qui met en lumière le combat de femmes pour vivre leur religion selon leur vou. « - Des usurières, des femmes habiles en droit, des dévoreuses insatiables ! Depuis des siècles, elles nous mènent la vie dure, nous spolient, nous ridiculisent, apitoient évêques et papes en invoquant le seul prétexte qu'elles sont de pauvres moniales, et qu'elles subissent toutes les injustices que le seigneur a fait naître sur cette sainte terre.
Elles savent faire parler d'elle. Elles prêchent, osent distribuer les sacrements et montrer à leur façon la voie du salut. Mon pauvre Cornélius, s'il n' y avait pas les femmes, nous aurions tout pour rien, l'existence serait sereine, mais en réalité c'est pisser chaud pour boire froid. » Au XVIe siècle, en Provence, le moine Cornélius est mandaté par l'abbaye de Saint-Victor à Marseille pour enquêter sur les religieuses du couvent de la Celle, près de Brignoles.
Les plus hautes sphères du royaume et du clergé veulent fermer ce lieu réputé malsain et si peu catholique, réputé pour ses débauches. Enviées et jalousées car indépendantes et puissantes, les bénédictines de la Celle, toutes issues de l'aristocratie, sont accusées des plaisirs de la chair et autres vices. Cette mauvaise réputation remonte à Garsende de Sabran, la première abbesse, qui, au XIIIe siècle, fit du couvent une abbaye royale prestigieuse jouissant, fait exceptionnel, de la protection des papes.
Un statut et une puissance intolérables pour les hommes du clergé de Saint-Victor autant que pour le pouvoir royal, Mazarin en tête, et qu'ils entendront remettre en question, par tous les moyens. Y compris la calomnie. .
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