Le songe d'Amédée Ponceau

Par : Roger Bodart

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages180
  • FormatePub
  • ISBN2-307-21193-4
  • EAN9782307211938
  • Date de parution01/01/1959
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille666 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Édit...

Résumé

Philosophe et professeur, Amédée Ponceau fait penser à Alain par son ouvre "parlée", qui est considérable ; il s'apparente aussi à Simone Weil, par sa méditation silencieuse, enfermée dans des notes intimes qui ne furent publiées qu'après sa mort et dont l'importance est bien plus considérable encore. « L'initiation philosophique » paraît quelques mois avant son décès, en 1948. Ses autres ouvres ne sont publiées qu'après « Timoléon », « Réflexions sur la tyrannie », « Paysages balzaciens », « La musique et l'angoisse », « Le temps dépassé ».
Pourquoi ce long silence ? C'est à cette question que répond Roger Bodart. Il le fait après avoir dépouillé des notes encore inédites, dont il donne de larges extraits. On y trouve un homme qui tend moins à s'ébruiter qu'à se transmettre, qui regarde les hommes, mais ne veut pas être vu par eux. De nombreuses pages de ce livre frappent par leur actualité. « L'éclair d'Hiroshima » et, plus loin, « Un songe pour détruire le monde » éclairent d'une façon nouvelle le problème redoutable des pouvoirs de l'homme de science.
« Nationalisme et humanisme » et « Une carrière d'opposition » posent, avec franchise, le problème de l'homme devant l'État. Toute l'angoisse du monde d'aujourd'hui est présente dans ces pages. Non seulement l'angoisse : Amédée Ponceau est une âme accordée au Grand Concert des êtres et des choses. Le livre se clôt sur un chapitre, "La paix du cour", qui livre son ultime secret. « Être âme, disait-il, ce n'est pas seulement assister à soi-même, c'est assister à sa propre naissance, à la naissance du monde. » Et il ajoute : « L'Histoire n'est-elle que la voix des morts ? Ce gouvernement des vivants par les morts, dont parle Auguste Comte ? N'est-elle pas aussi la voix de Dieu ? N'y a-t-il pas une idée qui dépasse toute l'Histoire, et qui est la forme préfigurée de ce que doit être l'avenir ? C'est la réponse au risque du désespoir. » L'ouvre d'Amédée Ponceau a sauvé beaucoup d'hommes du désespoir.
Roger Bodart est le premier a éclairer le visage de ce sage, dont la pensée rend quelque force à notre monde « désâmé ».
Philosophe et professeur, Amédée Ponceau fait penser à Alain par son ouvre "parlée", qui est considérable ; il s'apparente aussi à Simone Weil, par sa méditation silencieuse, enfermée dans des notes intimes qui ne furent publiées qu'après sa mort et dont l'importance est bien plus considérable encore. « L'initiation philosophique » paraît quelques mois avant son décès, en 1948. Ses autres ouvres ne sont publiées qu'après « Timoléon », « Réflexions sur la tyrannie », « Paysages balzaciens », « La musique et l'angoisse », « Le temps dépassé ».
Pourquoi ce long silence ? C'est à cette question que répond Roger Bodart. Il le fait après avoir dépouillé des notes encore inédites, dont il donne de larges extraits. On y trouve un homme qui tend moins à s'ébruiter qu'à se transmettre, qui regarde les hommes, mais ne veut pas être vu par eux. De nombreuses pages de ce livre frappent par leur actualité. « L'éclair d'Hiroshima » et, plus loin, « Un songe pour détruire le monde » éclairent d'une façon nouvelle le problème redoutable des pouvoirs de l'homme de science.
« Nationalisme et humanisme » et « Une carrière d'opposition » posent, avec franchise, le problème de l'homme devant l'État. Toute l'angoisse du monde d'aujourd'hui est présente dans ces pages. Non seulement l'angoisse : Amédée Ponceau est une âme accordée au Grand Concert des êtres et des choses. Le livre se clôt sur un chapitre, "La paix du cour", qui livre son ultime secret. « Être âme, disait-il, ce n'est pas seulement assister à soi-même, c'est assister à sa propre naissance, à la naissance du monde. » Et il ajoute : « L'Histoire n'est-elle que la voix des morts ? Ce gouvernement des vivants par les morts, dont parle Auguste Comte ? N'est-elle pas aussi la voix de Dieu ? N'y a-t-il pas une idée qui dépasse toute l'Histoire, et qui est la forme préfigurée de ce que doit être l'avenir ? C'est la réponse au risque du désespoir. » L'ouvre d'Amédée Ponceau a sauvé beaucoup d'hommes du désespoir.
Roger Bodart est le premier a éclairer le visage de ce sage, dont la pensée rend quelque force à notre monde « désâmé ».
Les mots les plus humains
Claude Bergame, Roger Bodart
E-book
5,99 €
Les mots les plus humains
Claude Bergame, Roger Bodart
E-book
5,99 €
Le songe d'Amédée Ponceau
Roger Bodart
E-book
6,49 €
Brûler vif
Charles Plisnier, Roger Bodart, Alida Plisnier
E-book
7,49 €
Origines
Roger Bodart
Grand Format
30,00 €