Le crédit du cycle des fourmis est épuisé depuis fort longtemps. Encore une fois une histoire à dormir debout. Jules VERNES, auquel ose se comparer à l'envi l'auteur, n'a jamais osé se moquer des lois fondentales de la physique et de la chimie. Il a utilisé les données acquises de la science pour imaginer l'inimaginable technologique. Werber est une insulte à la science et à la science fiction. Le seul intérêt, peut être, est de nous éclairer sur l'ancienne civilisation SINOI, dont la vie autour du rêve, telle que décrite, certainement par l'imagination de deux "scribouillards" anglais en mal de reconnaissance, dont les thèses sont reprises par l'auteur. Le tout dans un français approximatif et pauvre. Si nous sommes au royaume utopique des Troglodytes, il faut le dire, mais ne nous faites pas prendre des vessies pour des lanternes. Michel BLAISE.
Le crédit du cycle des fourmis est épuisé depuis fort longtemps. Encore une fois une histoire à dormir debout. Jules VERNES, auquel ose se comparer à l'envi l'auteur, n'a jamais osé se moquer des lois fondentales de la physique et de la chimie. Il a utilisé les données acquises de la science pour imaginer l'inimaginable technologique. Werber est une insulte à la science et à la science fiction. Le seul intérêt, peut être, est de nous éclairer sur l'ancienne civilisation SINOI, dont la vie autour du rêve, telle que décrite, certainement par l'imagination de deux "scribouillards" anglais en mal de reconnaissance, dont les thèses sont reprises par l'auteur. Le tout dans un français approximatif et pauvre. Si nous sommes au royaume utopique des Troglodytes, il faut le dire, mais ne nous faites pas prendre des vessies pour des lanternes. Michel BLAISE.