Le Sénat sous la IIIe République. 1920-1940
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages502
- FormatePub
- ISBN978-2-271-08284-8
- EAN9782271082848
- Date de parution20/11/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurCNRS EDITIONS
Résumé
La première étude exhaustive sur un rouage essentiel de la vie politique sous la IIIe République. À la fin du xixe siècle, le Sénat devient l'un des piliers du régime républicain. Les hommes qui le composent, des notables essentiellement ruraux, sont très majoritairement radicaux ou républicains modérés, profondément attachés au caractère parlementaire des institutions, à la laïcité, au libéralisme économique et politique et à la défense nationale.
Comme le montre Gisèle Berstein dans cette vaste fresque, ces éléments constitutifs de la tradition républicaine se trouvent menacés dans l'entre-deuxguerres par les troubles qui affectent la France. Ces dangers conduisent le Sénat, qui se considère comme le gardien du régime, à mener un incessant combat contre les empiètements du gouvernement sur le droit de contrôle de cette Assemblée, contre la poussée communiste et contre les risques d'étatisation qu'il croit discerner dans l'expérience du Front populaire.
La perte d'influence de la Haute-Assemblée annonce la crise du régime parlementaire. Le Sénat assiste impuissant au double échec de 1940 qu'il a tenté en vain d'éviter : la défaite militaire de la France devant l'Allemagne nazie et l'effondrement du régime républicain.
Comme le montre Gisèle Berstein dans cette vaste fresque, ces éléments constitutifs de la tradition républicaine se trouvent menacés dans l'entre-deuxguerres par les troubles qui affectent la France. Ces dangers conduisent le Sénat, qui se considère comme le gardien du régime, à mener un incessant combat contre les empiètements du gouvernement sur le droit de contrôle de cette Assemblée, contre la poussée communiste et contre les risques d'étatisation qu'il croit discerner dans l'expérience du Front populaire.
La perte d'influence de la Haute-Assemblée annonce la crise du régime parlementaire. Le Sénat assiste impuissant au double échec de 1940 qu'il a tenté en vain d'éviter : la défaite militaire de la France devant l'Allemagne nazie et l'effondrement du régime républicain.
La première étude exhaustive sur un rouage essentiel de la vie politique sous la IIIe République. À la fin du xixe siècle, le Sénat devient l'un des piliers du régime républicain. Les hommes qui le composent, des notables essentiellement ruraux, sont très majoritairement radicaux ou républicains modérés, profondément attachés au caractère parlementaire des institutions, à la laïcité, au libéralisme économique et politique et à la défense nationale.
Comme le montre Gisèle Berstein dans cette vaste fresque, ces éléments constitutifs de la tradition républicaine se trouvent menacés dans l'entre-deuxguerres par les troubles qui affectent la France. Ces dangers conduisent le Sénat, qui se considère comme le gardien du régime, à mener un incessant combat contre les empiètements du gouvernement sur le droit de contrôle de cette Assemblée, contre la poussée communiste et contre les risques d'étatisation qu'il croit discerner dans l'expérience du Front populaire.
La perte d'influence de la Haute-Assemblée annonce la crise du régime parlementaire. Le Sénat assiste impuissant au double échec de 1940 qu'il a tenté en vain d'éviter : la défaite militaire de la France devant l'Allemagne nazie et l'effondrement du régime républicain.
Comme le montre Gisèle Berstein dans cette vaste fresque, ces éléments constitutifs de la tradition républicaine se trouvent menacés dans l'entre-deuxguerres par les troubles qui affectent la France. Ces dangers conduisent le Sénat, qui se considère comme le gardien du régime, à mener un incessant combat contre les empiètements du gouvernement sur le droit de contrôle de cette Assemblée, contre la poussée communiste et contre les risques d'étatisation qu'il croit discerner dans l'expérience du Front populaire.
La perte d'influence de la Haute-Assemblée annonce la crise du régime parlementaire. Le Sénat assiste impuissant au double échec de 1940 qu'il a tenté en vain d'éviter : la défaite militaire de la France devant l'Allemagne nazie et l'effondrement du régime républicain.