Nouveauté
Le sang de l'innocence
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- Nombre de pages204
- FormatPDF
- ISBN979-10-428-0525-8
- EAN9791042805258
- Date de parution26/06/2025
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille8 Mo
- ÉditeurIMPLIQUES
Résumé
Un coin de rue, une parcelle de trottoir, le silence pesant, l'ennui, le vide intérieur, la souffrance morale, le regard hagard, la tête dans le néant. Un regard furtif, jeté sur un passant qui s'arrête et, d'un geste charitable, dépose quelques pièces dans une petite boîte, portée par une main tendue d'une personne, au visage caché derrière de grosses lunettes noires. À ses côtés, une enfant au visage angélique qui, en d'autres lieux et sous d'autres cieux, dans la civilisation de l'image, aurait pu ravir des trophées, susciter des regards admiratifs.
Mais le sort l'a marquée d'une maturité précoce, lui dérobant l'émotion enfantine. Une scène bouleversante qui semble jaillir des profondeurs de l'histoire pour porter la misère de l'humanité, exprimer la souffrance de l'homme chassé de l'Éden, expier ses malheurs, conjurer son sort. Une expression faite pour ternir la beauté de la créature céleste, exposant l'innocence assassinée, exhibant les stigmates de la repentance du péché originel, celui d'être venu au monde.
Elle semblait résignée à son triste sort, partageant la misère et épousant la souffrance de cette personne aux lunettes noires, attendre des pans entiers de la journée dans l'interminable ennui de la fatalité, dans la solitude à toute épreuve d'une enfance volée. « ?A la santé de ceux qui n'ont jamais eu faim?! A la santé de ceux qui n'ont jamais eu soif !? »
Mais le sort l'a marquée d'une maturité précoce, lui dérobant l'émotion enfantine. Une scène bouleversante qui semble jaillir des profondeurs de l'histoire pour porter la misère de l'humanité, exprimer la souffrance de l'homme chassé de l'Éden, expier ses malheurs, conjurer son sort. Une expression faite pour ternir la beauté de la créature céleste, exposant l'innocence assassinée, exhibant les stigmates de la repentance du péché originel, celui d'être venu au monde.
Elle semblait résignée à son triste sort, partageant la misère et épousant la souffrance de cette personne aux lunettes noires, attendre des pans entiers de la journée dans l'interminable ennui de la fatalité, dans la solitude à toute épreuve d'une enfance volée. « ?A la santé de ceux qui n'ont jamais eu faim?! A la santé de ceux qui n'ont jamais eu soif !? »
Un coin de rue, une parcelle de trottoir, le silence pesant, l'ennui, le vide intérieur, la souffrance morale, le regard hagard, la tête dans le néant. Un regard furtif, jeté sur un passant qui s'arrête et, d'un geste charitable, dépose quelques pièces dans une petite boîte, portée par une main tendue d'une personne, au visage caché derrière de grosses lunettes noires. À ses côtés, une enfant au visage angélique qui, en d'autres lieux et sous d'autres cieux, dans la civilisation de l'image, aurait pu ravir des trophées, susciter des regards admiratifs.
Mais le sort l'a marquée d'une maturité précoce, lui dérobant l'émotion enfantine. Une scène bouleversante qui semble jaillir des profondeurs de l'histoire pour porter la misère de l'humanité, exprimer la souffrance de l'homme chassé de l'Éden, expier ses malheurs, conjurer son sort. Une expression faite pour ternir la beauté de la créature céleste, exposant l'innocence assassinée, exhibant les stigmates de la repentance du péché originel, celui d'être venu au monde.
Elle semblait résignée à son triste sort, partageant la misère et épousant la souffrance de cette personne aux lunettes noires, attendre des pans entiers de la journée dans l'interminable ennui de la fatalité, dans la solitude à toute épreuve d'une enfance volée. « ?A la santé de ceux qui n'ont jamais eu faim?! A la santé de ceux qui n'ont jamais eu soif !? »
Mais le sort l'a marquée d'une maturité précoce, lui dérobant l'émotion enfantine. Une scène bouleversante qui semble jaillir des profondeurs de l'histoire pour porter la misère de l'humanité, exprimer la souffrance de l'homme chassé de l'Éden, expier ses malheurs, conjurer son sort. Une expression faite pour ternir la beauté de la créature céleste, exposant l'innocence assassinée, exhibant les stigmates de la repentance du péché originel, celui d'être venu au monde.
Elle semblait résignée à son triste sort, partageant la misère et épousant la souffrance de cette personne aux lunettes noires, attendre des pans entiers de la journée dans l'interminable ennui de la fatalité, dans la solitude à toute épreuve d'une enfance volée. « ?A la santé de ceux qui n'ont jamais eu faim?! A la santé de ceux qui n'ont jamais eu soif !? »