Le roman québécois
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages130
- FormatePub
- ISBN978-2-7646-4165-1
- EAN9782764641651
- Date de parution17/04/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille410 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBoréal (Editions du)
Résumé
Qu'est-ce qu'un roman québécois ? On s'est beaucoup interrogé sur l'adjectif jusqu'ici dans la critique et il va de soi qu'on n'étudie pas un tel corpus sans faire intervenir la question identitaire. Mais on peut aussi se demander quels types de roman le Québec a produits ou, en d'autres termes, ce que les romanciers du Québec ont apporté au roman, à l'art du roman. Dans cette synthèse, Michel Biron embrasse du regard la production romanesque québécoise depuis 1837 jusqu'à aujourd'hui.
Il y découvre une pratique du roman qui se distingue du roman d'ailleurs par une sorte d'extravagance naturelle. Le roman québécois s'approprie les formes souples du conte ou de la chronique, combine la distance de l'écriture et la chaleur de la parole, refuse les lourdes architectures du roman réaliste au profit du désordre et de la liberté du récit. Rien ne lui est plus aisé que de mélanger les styles, d'aller vers ce qui s'invente, se réinvente sans cesse comme s'il n'avait que faire de toute filiation.
L'auteur se penche également sur le rôle joué par la critique et sur le dialogue qu'elle a établi avec les romanciers.
Il y découvre une pratique du roman qui se distingue du roman d'ailleurs par une sorte d'extravagance naturelle. Le roman québécois s'approprie les formes souples du conte ou de la chronique, combine la distance de l'écriture et la chaleur de la parole, refuse les lourdes architectures du roman réaliste au profit du désordre et de la liberté du récit. Rien ne lui est plus aisé que de mélanger les styles, d'aller vers ce qui s'invente, se réinvente sans cesse comme s'il n'avait que faire de toute filiation.
L'auteur se penche également sur le rôle joué par la critique et sur le dialogue qu'elle a établi avec les romanciers.
Qu'est-ce qu'un roman québécois ? On s'est beaucoup interrogé sur l'adjectif jusqu'ici dans la critique et il va de soi qu'on n'étudie pas un tel corpus sans faire intervenir la question identitaire. Mais on peut aussi se demander quels types de roman le Québec a produits ou, en d'autres termes, ce que les romanciers du Québec ont apporté au roman, à l'art du roman. Dans cette synthèse, Michel Biron embrasse du regard la production romanesque québécoise depuis 1837 jusqu'à aujourd'hui.
Il y découvre une pratique du roman qui se distingue du roman d'ailleurs par une sorte d'extravagance naturelle. Le roman québécois s'approprie les formes souples du conte ou de la chronique, combine la distance de l'écriture et la chaleur de la parole, refuse les lourdes architectures du roman réaliste au profit du désordre et de la liberté du récit. Rien ne lui est plus aisé que de mélanger les styles, d'aller vers ce qui s'invente, se réinvente sans cesse comme s'il n'avait que faire de toute filiation.
L'auteur se penche également sur le rôle joué par la critique et sur le dialogue qu'elle a établi avec les romanciers.
Il y découvre une pratique du roman qui se distingue du roman d'ailleurs par une sorte d'extravagance naturelle. Le roman québécois s'approprie les formes souples du conte ou de la chronique, combine la distance de l'écriture et la chaleur de la parole, refuse les lourdes architectures du roman réaliste au profit du désordre et de la liberté du récit. Rien ne lui est plus aisé que de mélanger les styles, d'aller vers ce qui s'invente, se réinvente sans cesse comme s'il n'avait que faire de toute filiation.
L'auteur se penche également sur le rôle joué par la critique et sur le dialogue qu'elle a établi avec les romanciers.