Le roman de la Révolution. L'écriture romanesque des révolutions, de Victor Hugo à George Orwell
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- Nombre de pages288
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7535-5780-2
- EAN9782753557802
- Date de parution03/06/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Rennes
Résumé
Cet ouvrage propose une réflexion sur la destinée romanesque de l'idée même de révolution. Comment la posture révolutionnaire romantique caractéristique d'un Michelet ou d'un Hugo se résout-elle dans des ouvres plus tardives, ou dans des romans de la désillusion révolutionnaire ? La première partie, « Dire la révolution », s'articule autour de questions narrative et génériques. Suivant le contexte d'écriture et les modèles adoptés ainsi que suivant le rapport entretenu avec l'événement historique, les romanciers opèrent des choix variables qui infléchissent déjà la représentation des faits révolutionnaires.
La deuxième partie, « Penser la révolution », tente précisément de mettre au jour les présupposés philosophiques et politiques qui apparaissent au sein des romans. Chaque auteur y exprime en effet de manière plus ou moins explicite sa définition de la révolution, perçue comme une catastrophe ou une nécessité historique, comme un événement rationnel ou irrationnel, s'appuyant sur des conceptions particulières de l'homme et de la société.
Enfin, La troisième partie, s'attache à montrer que la représentation romanesque de la révolution use intensément d'images et de mythes, soulignant à quel point la pensée mythique s'associe à la pensée rationnelle dans la conception de la révolution.
La deuxième partie, « Penser la révolution », tente précisément de mettre au jour les présupposés philosophiques et politiques qui apparaissent au sein des romans. Chaque auteur y exprime en effet de manière plus ou moins explicite sa définition de la révolution, perçue comme une catastrophe ou une nécessité historique, comme un événement rationnel ou irrationnel, s'appuyant sur des conceptions particulières de l'homme et de la société.
Enfin, La troisième partie, s'attache à montrer que la représentation romanesque de la révolution use intensément d'images et de mythes, soulignant à quel point la pensée mythique s'associe à la pensée rationnelle dans la conception de la révolution.
Cet ouvrage propose une réflexion sur la destinée romanesque de l'idée même de révolution. Comment la posture révolutionnaire romantique caractéristique d'un Michelet ou d'un Hugo se résout-elle dans des ouvres plus tardives, ou dans des romans de la désillusion révolutionnaire ? La première partie, « Dire la révolution », s'articule autour de questions narrative et génériques. Suivant le contexte d'écriture et les modèles adoptés ainsi que suivant le rapport entretenu avec l'événement historique, les romanciers opèrent des choix variables qui infléchissent déjà la représentation des faits révolutionnaires.
La deuxième partie, « Penser la révolution », tente précisément de mettre au jour les présupposés philosophiques et politiques qui apparaissent au sein des romans. Chaque auteur y exprime en effet de manière plus ou moins explicite sa définition de la révolution, perçue comme une catastrophe ou une nécessité historique, comme un événement rationnel ou irrationnel, s'appuyant sur des conceptions particulières de l'homme et de la société.
Enfin, La troisième partie, s'attache à montrer que la représentation romanesque de la révolution use intensément d'images et de mythes, soulignant à quel point la pensée mythique s'associe à la pensée rationnelle dans la conception de la révolution.
La deuxième partie, « Penser la révolution », tente précisément de mettre au jour les présupposés philosophiques et politiques qui apparaissent au sein des romans. Chaque auteur y exprime en effet de manière plus ou moins explicite sa définition de la révolution, perçue comme une catastrophe ou une nécessité historique, comme un événement rationnel ou irrationnel, s'appuyant sur des conceptions particulières de l'homme et de la société.
Enfin, La troisième partie, s'attache à montrer que la représentation romanesque de la révolution use intensément d'images et de mythes, soulignant à quel point la pensée mythique s'associe à la pensée rationnelle dans la conception de la révolution.