Le RMI et après ?
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- Nombre de pages238
- FormatPDF
- ISBN2-296-24718-0
- EAN9782296247185
- Date de parution01/01/2001
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille8 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Ce livre, œuvre d'un groupe de professionnels et d'universitaires, est une épreuve de lucidité. Entre le ronron des gestionnaires de " dispositifs " - Même si bien " managés " - et les utopies salvatrices des penseurs du social, il incite à une expertise rigoureuse d'une grande innovation née en fin 1988 devenue au fil du temps un des piliers d'une politique dite globale de lutte contre les exclusions.
En effet, le RMI a été considéré et a fonctionné dans les premières années comme un outil permettant de transformer radicalement le regard et les pratiques de la société et des institutions sur ce quo l'on appelait à l'époque les " nouveaux pauvres ". Là, il est devenu, peu à peu, un segment des politiques d'assistance, un outil bâtard d'une insertion mal définie. bref un secteur du social parmi d'autres.
Les incantations globalisatrices sur l'impôt négatif ou le revenu minimum d'existence ne changeront rien à cela. La lutte contre l'exclusion ne se décrète pas, elle s'organise concrètement et au quotidien de ses formes locales. C'est à cet objectif que se sont attelés les auteurs de ce livre, convaincus qu'ils sont que point n'est besoin de grandes politiques nouvelles pour peu qu'on s'attache en permanence à usiner les outils que nous proposent celles qui existent.
La pauvreté et la précarité sont un processus et une dynamique, nous dit-on, les politiques publiques le sont aussi. Alors apprenons à gérer ensemble ces processus pour qu'enfin une prospective de la cohésion sociale soit un projet tenable et non pas incantatoire.
En effet, le RMI a été considéré et a fonctionné dans les premières années comme un outil permettant de transformer radicalement le regard et les pratiques de la société et des institutions sur ce quo l'on appelait à l'époque les " nouveaux pauvres ". Là, il est devenu, peu à peu, un segment des politiques d'assistance, un outil bâtard d'une insertion mal définie. bref un secteur du social parmi d'autres.
Les incantations globalisatrices sur l'impôt négatif ou le revenu minimum d'existence ne changeront rien à cela. La lutte contre l'exclusion ne se décrète pas, elle s'organise concrètement et au quotidien de ses formes locales. C'est à cet objectif que se sont attelés les auteurs de ce livre, convaincus qu'ils sont que point n'est besoin de grandes politiques nouvelles pour peu qu'on s'attache en permanence à usiner les outils que nous proposent celles qui existent.
La pauvreté et la précarité sont un processus et une dynamique, nous dit-on, les politiques publiques le sont aussi. Alors apprenons à gérer ensemble ces processus pour qu'enfin une prospective de la cohésion sociale soit un projet tenable et non pas incantatoire.
Ce livre, œuvre d'un groupe de professionnels et d'universitaires, est une épreuve de lucidité. Entre le ronron des gestionnaires de " dispositifs " - Même si bien " managés " - et les utopies salvatrices des penseurs du social, il incite à une expertise rigoureuse d'une grande innovation née en fin 1988 devenue au fil du temps un des piliers d'une politique dite globale de lutte contre les exclusions.
En effet, le RMI a été considéré et a fonctionné dans les premières années comme un outil permettant de transformer radicalement le regard et les pratiques de la société et des institutions sur ce quo l'on appelait à l'époque les " nouveaux pauvres ". Là, il est devenu, peu à peu, un segment des politiques d'assistance, un outil bâtard d'une insertion mal définie. bref un secteur du social parmi d'autres.
Les incantations globalisatrices sur l'impôt négatif ou le revenu minimum d'existence ne changeront rien à cela. La lutte contre l'exclusion ne se décrète pas, elle s'organise concrètement et au quotidien de ses formes locales. C'est à cet objectif que se sont attelés les auteurs de ce livre, convaincus qu'ils sont que point n'est besoin de grandes politiques nouvelles pour peu qu'on s'attache en permanence à usiner les outils que nous proposent celles qui existent.
La pauvreté et la précarité sont un processus et une dynamique, nous dit-on, les politiques publiques le sont aussi. Alors apprenons à gérer ensemble ces processus pour qu'enfin une prospective de la cohésion sociale soit un projet tenable et non pas incantatoire.
En effet, le RMI a été considéré et a fonctionné dans les premières années comme un outil permettant de transformer radicalement le regard et les pratiques de la société et des institutions sur ce quo l'on appelait à l'époque les " nouveaux pauvres ". Là, il est devenu, peu à peu, un segment des politiques d'assistance, un outil bâtard d'une insertion mal définie. bref un secteur du social parmi d'autres.
Les incantations globalisatrices sur l'impôt négatif ou le revenu minimum d'existence ne changeront rien à cela. La lutte contre l'exclusion ne se décrète pas, elle s'organise concrètement et au quotidien de ses formes locales. C'est à cet objectif que se sont attelés les auteurs de ce livre, convaincus qu'ils sont que point n'est besoin de grandes politiques nouvelles pour peu qu'on s'attache en permanence à usiner les outils que nous proposent celles qui existent.
La pauvreté et la précarité sont un processus et une dynamique, nous dit-on, les politiques publiques le sont aussi. Alors apprenons à gérer ensemble ces processus pour qu'enfin une prospective de la cohésion sociale soit un projet tenable et non pas incantatoire.