C'est en faisant vibrer notre rétine et en la maintenant à un certain diapason que l'ouvre d'art affirme sa présence, prend corps et vie, nous retient captifs et soumis à toutes les possibilités dont elle est chargée. Sa plus ou moins grande spiritualité ne sera jamais que le prolongement poétique d'une jouissance organique.
C'est en faisant vibrer notre rétine et en la maintenant à un certain diapason que l'ouvre d'art affirme sa présence, prend corps et vie, nous retient captifs et soumis à toutes les possibilités dont elle est chargée. Sa plus ou moins grande spiritualité ne sera jamais que le prolongement poétique d'une jouissance organique.