Le refus de l'école : six points de vue
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- Nombre de pages268
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-17176-3
- EAN9782296171763
- Date de parution01/05/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1008 Ko
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
" Entité clinique ou symptôme, syndrome unifié ou simple signe d'un trouble psychopathologique, le refus de l'école n'a de cesse d'interroger cliniciens, chercheurs, pédagogues, sociologues, enseignants. Dans tous les cas, il s'agit d'essayer de comprendre pourquoi ces "chères têtes blondes" ne veulent rien savoir de ce formidable monde dans lequel nous voulons les inviter, le savoir. Le savoir est porté par l'école, par la volonté des parents de voir des enfants "faire mieux" qu'eux, par une société en mal de former une élite, une jeunesse à des métiers nouveaux et de former des techniciens selon les besoins de l'économie de marché, par une société dont le devoir serait aussi d'éduquer ses citoyens à la vie en communauté.
Le monde des adultes, spécialiste de ces questions ou parent d'un enfant scolarisé, ne parvient pas à saisir l'origine ni le bien-fondé d'une telle attitude de refus, trouvant parfois pour seul argument "c'est pour ton bien", phrase mainte fois entendue par celui qui refuse d'aller dans cette école, dont on dit tant de bien et dans laquelle il ne ressent qu'angoisses et frustrations. Ce décalage n'est-il pas à l'origine de la multiplicité des discours sur le refus de l'école '? C'est peut-être aussi la difficulté de se situer, en tant que chercheur, clinicien ou pédagogue, dans une position praxéologique ou théorique, face à un phénomène qui touche l'ancien élève qui a réussi, l'enfant qui aimait peut-être l'école, le parent qui aujourd'hui a pour devoir d'éduquer ses enfants et de leur offrir le meilleur avenir possible.
"
Le monde des adultes, spécialiste de ces questions ou parent d'un enfant scolarisé, ne parvient pas à saisir l'origine ni le bien-fondé d'une telle attitude de refus, trouvant parfois pour seul argument "c'est pour ton bien", phrase mainte fois entendue par celui qui refuse d'aller dans cette école, dont on dit tant de bien et dans laquelle il ne ressent qu'angoisses et frustrations. Ce décalage n'est-il pas à l'origine de la multiplicité des discours sur le refus de l'école '? C'est peut-être aussi la difficulté de se situer, en tant que chercheur, clinicien ou pédagogue, dans une position praxéologique ou théorique, face à un phénomène qui touche l'ancien élève qui a réussi, l'enfant qui aimait peut-être l'école, le parent qui aujourd'hui a pour devoir d'éduquer ses enfants et de leur offrir le meilleur avenir possible.
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" Entité clinique ou symptôme, syndrome unifié ou simple signe d'un trouble psychopathologique, le refus de l'école n'a de cesse d'interroger cliniciens, chercheurs, pédagogues, sociologues, enseignants. Dans tous les cas, il s'agit d'essayer de comprendre pourquoi ces "chères têtes blondes" ne veulent rien savoir de ce formidable monde dans lequel nous voulons les inviter, le savoir. Le savoir est porté par l'école, par la volonté des parents de voir des enfants "faire mieux" qu'eux, par une société en mal de former une élite, une jeunesse à des métiers nouveaux et de former des techniciens selon les besoins de l'économie de marché, par une société dont le devoir serait aussi d'éduquer ses citoyens à la vie en communauté.
Le monde des adultes, spécialiste de ces questions ou parent d'un enfant scolarisé, ne parvient pas à saisir l'origine ni le bien-fondé d'une telle attitude de refus, trouvant parfois pour seul argument "c'est pour ton bien", phrase mainte fois entendue par celui qui refuse d'aller dans cette école, dont on dit tant de bien et dans laquelle il ne ressent qu'angoisses et frustrations. Ce décalage n'est-il pas à l'origine de la multiplicité des discours sur le refus de l'école '? C'est peut-être aussi la difficulté de se situer, en tant que chercheur, clinicien ou pédagogue, dans une position praxéologique ou théorique, face à un phénomène qui touche l'ancien élève qui a réussi, l'enfant qui aimait peut-être l'école, le parent qui aujourd'hui a pour devoir d'éduquer ses enfants et de leur offrir le meilleur avenir possible.
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Le monde des adultes, spécialiste de ces questions ou parent d'un enfant scolarisé, ne parvient pas à saisir l'origine ni le bien-fondé d'une telle attitude de refus, trouvant parfois pour seul argument "c'est pour ton bien", phrase mainte fois entendue par celui qui refuse d'aller dans cette école, dont on dit tant de bien et dans laquelle il ne ressent qu'angoisses et frustrations. Ce décalage n'est-il pas à l'origine de la multiplicité des discours sur le refus de l'école '? C'est peut-être aussi la difficulté de se situer, en tant que chercheur, clinicien ou pédagogue, dans une position praxéologique ou théorique, face à un phénomène qui touche l'ancien élève qui a réussi, l'enfant qui aimait peut-être l'école, le parent qui aujourd'hui a pour devoir d'éduquer ses enfants et de leur offrir le meilleur avenir possible.
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