Le recours à Dieu pour la guérison d'un malade. Une prière juste ?
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- Nombre de pages54
- FormatePub
- ISBN978-2-249-62649-4
- EAN9782249626494
- Date de parution15/02/2019
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille175 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLethielleux Editions
Résumé
Le pape François a décrit de manière mémorable l'Église comme un « hôpital de campagne » pour les blessés. L'image est très forte d'autant que les blessures sont variées : des blessures physiques aux blessures de l'âme, en passant par les blessures psychologiques. Depuis toujours, l'Eglise s'est attachée à cette mission qui a beaucoup évolué au fil des temps. Mais il faut reconnaître que cette mission a pris de l'ampleur depuis la fin des années 60 avec l'exercice des charismes.
Aussi, de nombreuses guérisons, non plus seulement attribuées à des sanctuaires comme Lourdes ou à des saints comme Saint Charbel se sont multipliées à partir du ministère de prêtres, religieux et laïcs. L'exemple du Père Tardif est très révélateur. Cette évolution dans l'Eglise ne passe pas inaperçue et ouvre place à de véritables débats, pour ou contre l'exercice de ces charismes ; il est surtout question de la légitimité ou non de demander la guérison.
Aussi, il appartient à l'Eglise d'accompagner cette mutation afin d'éviter d'éventuelles dérives et assurer la rectitude la foi et l'Unité institutionnelle. DEROND Charles, Martinique, Docteur en Ethique et Religion (Faculté de Théologie catholique de l'Université de Strasbourg) - Par ailleurs, l'auteur est marié, père de deux enfants, et sous-diacre maronite.
Aussi, de nombreuses guérisons, non plus seulement attribuées à des sanctuaires comme Lourdes ou à des saints comme Saint Charbel se sont multipliées à partir du ministère de prêtres, religieux et laïcs. L'exemple du Père Tardif est très révélateur. Cette évolution dans l'Eglise ne passe pas inaperçue et ouvre place à de véritables débats, pour ou contre l'exercice de ces charismes ; il est surtout question de la légitimité ou non de demander la guérison.
Aussi, il appartient à l'Eglise d'accompagner cette mutation afin d'éviter d'éventuelles dérives et assurer la rectitude la foi et l'Unité institutionnelle. DEROND Charles, Martinique, Docteur en Ethique et Religion (Faculté de Théologie catholique de l'Université de Strasbourg) - Par ailleurs, l'auteur est marié, père de deux enfants, et sous-diacre maronite.
Le pape François a décrit de manière mémorable l'Église comme un « hôpital de campagne » pour les blessés. L'image est très forte d'autant que les blessures sont variées : des blessures physiques aux blessures de l'âme, en passant par les blessures psychologiques. Depuis toujours, l'Eglise s'est attachée à cette mission qui a beaucoup évolué au fil des temps. Mais il faut reconnaître que cette mission a pris de l'ampleur depuis la fin des années 60 avec l'exercice des charismes.
Aussi, de nombreuses guérisons, non plus seulement attribuées à des sanctuaires comme Lourdes ou à des saints comme Saint Charbel se sont multipliées à partir du ministère de prêtres, religieux et laïcs. L'exemple du Père Tardif est très révélateur. Cette évolution dans l'Eglise ne passe pas inaperçue et ouvre place à de véritables débats, pour ou contre l'exercice de ces charismes ; il est surtout question de la légitimité ou non de demander la guérison.
Aussi, il appartient à l'Eglise d'accompagner cette mutation afin d'éviter d'éventuelles dérives et assurer la rectitude la foi et l'Unité institutionnelle. DEROND Charles, Martinique, Docteur en Ethique et Religion (Faculté de Théologie catholique de l'Université de Strasbourg) - Par ailleurs, l'auteur est marié, père de deux enfants, et sous-diacre maronite.
Aussi, de nombreuses guérisons, non plus seulement attribuées à des sanctuaires comme Lourdes ou à des saints comme Saint Charbel se sont multipliées à partir du ministère de prêtres, religieux et laïcs. L'exemple du Père Tardif est très révélateur. Cette évolution dans l'Eglise ne passe pas inaperçue et ouvre place à de véritables débats, pour ou contre l'exercice de ces charismes ; il est surtout question de la légitimité ou non de demander la guérison.
Aussi, il appartient à l'Eglise d'accompagner cette mutation afin d'éviter d'éventuelles dérives et assurer la rectitude la foi et l'Unité institutionnelle. DEROND Charles, Martinique, Docteur en Ethique et Religion (Faculté de Théologie catholique de l'Université de Strasbourg) - Par ailleurs, l'auteur est marié, père de deux enfants, et sous-diacre maronite.