Le quantique : un paradoxe de la relativité ?. Ces formules qui en savent plus que nous

Par : Jean Perdijon

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  • Nombre de pages144
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-36403-058-9
  • EAN9782364030589
  • Date de parution01/02/2014
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille3 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurDesiris (Editions)

Résumé

Comment les physiciens, qui comptent pourtant parmi les scientifiques les plus durs, ont-ils pu perdre leur sens critique au point d'admettre les conséquences de la mécanique quantique aussi contraires à toute logique que la complémentarité ou la non-séparabilité ? Revenons en 1905, année où Einstein a énoncé les deux formules - E = mc2 et E = hv -, que tout le monde admet depuis un siècle. La première, issue de la relativité - une théorie réaliste et continue qui a précisé les principes de localité et de causalité -, a conduit à une nouvelle interprétation de la masse et de l'énergie.
La seconde, à l'origine de la mécanique quantique - une théorie opératoire qui a introduit la discontinuité et remis en question localité et causalité -, a conduit à la discrétisation de l'énergie et au photon. Deux conceptions opposées, que la théorie des cordes est incapable de concilier. Avant de chercher une superthéorie, ne peut-on expliquer plus simplement les bizarreries quantastiques comme l'un des paradoxes de la relativité ? Ingénieur civil des mines, Jean Perdijon a été chercheur au Centre d'études nucléaires de Grenoble et enseignant à l'École de physique de cette ville.
Il est l'auteur de manuels techniques et d'une douzaine d'essais scientifiques.
Comment les physiciens, qui comptent pourtant parmi les scientifiques les plus durs, ont-ils pu perdre leur sens critique au point d'admettre les conséquences de la mécanique quantique aussi contraires à toute logique que la complémentarité ou la non-séparabilité ? Revenons en 1905, année où Einstein a énoncé les deux formules - E = mc2 et E = hv -, que tout le monde admet depuis un siècle. La première, issue de la relativité - une théorie réaliste et continue qui a précisé les principes de localité et de causalité -, a conduit à une nouvelle interprétation de la masse et de l'énergie.
La seconde, à l'origine de la mécanique quantique - une théorie opératoire qui a introduit la discontinuité et remis en question localité et causalité -, a conduit à la discrétisation de l'énergie et au photon. Deux conceptions opposées, que la théorie des cordes est incapable de concilier. Avant de chercher une superthéorie, ne peut-on expliquer plus simplement les bizarreries quantastiques comme l'un des paradoxes de la relativité ? Ingénieur civil des mines, Jean Perdijon a été chercheur au Centre d'études nucléaires de Grenoble et enseignant à l'École de physique de cette ville.
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