Le problème de la natalité. Faut-il faire des enfants ?
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- Nombre de pages162
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-16127-6
- EAN9782296161276
- Date de parution01/01/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les médias ont exulté en annonçant une forte hausse de la démographie française. Toute naissance est accueillie avec un enthousiasme unanime. Cela va de soi. Pourtant, mettre au monde un être mortel, est-ce un cadeau ? Faut-il qu'il meure, celui qui pourrait ne pas être ? Cela vaut la peine d'ouvrir un débat. Toute discussion sur ce sujet est enflammée et désordonnée ; il me semble qu'il suffit de mettre en ordre certaines évidences pour établir la clarté.
Notons accessoirement que prétendre répondre, comme on le fait toujours, à des problèmes tels que l'avortement (on assassine aux Etats-Unis à ce sujet), les mères porteuses, l'insémination artificielle, le suicide, l'euthanasie, sans prendre en compte la question " Faut-il mourir ? " n'est pas sérieux : c'est comme couper un arbre de ses racines.
Notons accessoirement que prétendre répondre, comme on le fait toujours, à des problèmes tels que l'avortement (on assassine aux Etats-Unis à ce sujet), les mères porteuses, l'insémination artificielle, le suicide, l'euthanasie, sans prendre en compte la question " Faut-il mourir ? " n'est pas sérieux : c'est comme couper un arbre de ses racines.
Les médias ont exulté en annonçant une forte hausse de la démographie française. Toute naissance est accueillie avec un enthousiasme unanime. Cela va de soi. Pourtant, mettre au monde un être mortel, est-ce un cadeau ? Faut-il qu'il meure, celui qui pourrait ne pas être ? Cela vaut la peine d'ouvrir un débat. Toute discussion sur ce sujet est enflammée et désordonnée ; il me semble qu'il suffit de mettre en ordre certaines évidences pour établir la clarté.
Notons accessoirement que prétendre répondre, comme on le fait toujours, à des problèmes tels que l'avortement (on assassine aux Etats-Unis à ce sujet), les mères porteuses, l'insémination artificielle, le suicide, l'euthanasie, sans prendre en compte la question " Faut-il mourir ? " n'est pas sérieux : c'est comme couper un arbre de ses racines.
Notons accessoirement que prétendre répondre, comme on le fait toujours, à des problèmes tels que l'avortement (on assassine aux Etats-Unis à ce sujet), les mères porteuses, l'insémination artificielle, le suicide, l'euthanasie, sans prendre en compte la question " Faut-il mourir ? " n'est pas sérieux : c'est comme couper un arbre de ses racines.
