Le premier qui voit la mer
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- Nombre de pages143
- FormatePub
- ISBN978-2-36132-123-9
- EAN9782361321239
- Date de parution09/04/2015
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille4 Mo
- Éditeurversilio
Résumé
" Ne rien ressentir, ne rien montrer, surtout pas la peur. Moi, je n'ai rien montré aux soldats du check-point cet après-midi. Le bus scolaire s'est arrêté. Les camarades français ont commencé à chanter. Non, rien de rien... Non... Je ne regrette rien... De plus en plus fort. À la fin, ils hurlaient, les pieds-noirs. Je ne regrette riennnnnn...
Et nous, les quatre Arabes du lycée français, tassées au fond de nos sièges, le regard vide.
On n'a rien dit. On n'a pas baissé les yeux. La guerre va finir. Toutes les guerres finissent. Maman me le répète chaque soir. Il faut juste ne pas mourir avant la fin. " Le premier qui voit la mer s'ouvre sur l'enfance de Leila, insouciante, avant d'être profondément marquée par les violences de la guerre d'Algérie. Écrit à quatre mains par une mère et sa fille, ce récit évoque, avec une sincérité bouleversante et une grande vitalité, les multiples facettes de la vie de deux femmes, et à travers elles une tranche d'histoire contemporaine.
Un extrait de ce récit a été primé lors du concours Libération Apaj 2010. "Un texte magistral et tout en subtilité, sur les guerres, l'exil, la transmission et l'identité. " - F. Drouzy, Libération
On n'a rien dit. On n'a pas baissé les yeux. La guerre va finir. Toutes les guerres finissent. Maman me le répète chaque soir. Il faut juste ne pas mourir avant la fin. " Le premier qui voit la mer s'ouvre sur l'enfance de Leila, insouciante, avant d'être profondément marquée par les violences de la guerre d'Algérie. Écrit à quatre mains par une mère et sa fille, ce récit évoque, avec une sincérité bouleversante et une grande vitalité, les multiples facettes de la vie de deux femmes, et à travers elles une tranche d'histoire contemporaine.
Un extrait de ce récit a été primé lors du concours Libération Apaj 2010. "Un texte magistral et tout en subtilité, sur les guerres, l'exil, la transmission et l'identité. " - F. Drouzy, Libération
" Ne rien ressentir, ne rien montrer, surtout pas la peur. Moi, je n'ai rien montré aux soldats du check-point cet après-midi. Le bus scolaire s'est arrêté. Les camarades français ont commencé à chanter. Non, rien de rien... Non... Je ne regrette rien... De plus en plus fort. À la fin, ils hurlaient, les pieds-noirs. Je ne regrette riennnnnn...
Et nous, les quatre Arabes du lycée français, tassées au fond de nos sièges, le regard vide.
On n'a rien dit. On n'a pas baissé les yeux. La guerre va finir. Toutes les guerres finissent. Maman me le répète chaque soir. Il faut juste ne pas mourir avant la fin. " Le premier qui voit la mer s'ouvre sur l'enfance de Leila, insouciante, avant d'être profondément marquée par les violences de la guerre d'Algérie. Écrit à quatre mains par une mère et sa fille, ce récit évoque, avec une sincérité bouleversante et une grande vitalité, les multiples facettes de la vie de deux femmes, et à travers elles une tranche d'histoire contemporaine.
Un extrait de ce récit a été primé lors du concours Libération Apaj 2010. "Un texte magistral et tout en subtilité, sur les guerres, l'exil, la transmission et l'identité. " - F. Drouzy, Libération
On n'a rien dit. On n'a pas baissé les yeux. La guerre va finir. Toutes les guerres finissent. Maman me le répète chaque soir. Il faut juste ne pas mourir avant la fin. " Le premier qui voit la mer s'ouvre sur l'enfance de Leila, insouciante, avant d'être profondément marquée par les violences de la guerre d'Algérie. Écrit à quatre mains par une mère et sa fille, ce récit évoque, avec une sincérité bouleversante et une grande vitalité, les multiples facettes de la vie de deux femmes, et à travers elles une tranche d'histoire contemporaine.
Un extrait de ce récit a été primé lors du concours Libération Apaj 2010. "Un texte magistral et tout en subtilité, sur les guerres, l'exil, la transmission et l'identité. " - F. Drouzy, Libération