Le portrait de Dorian Gray. texte original d'avant censure, traduction inédite et postface par Christine Jeanney

Par : Oscar Wilde, Christine Jeanney

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  • Nombre de pages432
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-8145-5534-1
  • EAN9782814555341
  • Date de parution06/02/2013
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub sans ...
  • Éditeurpublie.net

Résumé

L'art n'a pas à être moral, l'artiste n'a pas à s'occuper des conséquences sociales de son chemin vers le beau. Oscar Wilde y laissera la vie. Aura de scandale qui le poursuit toujours. Paru en 1891 dans le Lippincott's Monthly Magazine, c'est une version épurée par la morale d'époque qui paraît en roman, et qui sera traduite en français dès 1895. Il était temps de rebattre les cartes. Un roman du désir.
Mais avant tout un conte fantastique, et qui fait mal: le portrait que réalise du jeune Dorian Gray le peintre Basil Hallward serait un tel idéal de la beauté que le tableau devient insupportable à celui qui en fut le modèle. Et s'il était possible que ce soit le tableau qui vieillisse, et que lui, Dorian Gray, garde à jamais ce visage tel qu'il a été transcendé et fixé ? L'incroyable puissance du récit tient à ce noeud, jusqu'au coup de couteau final. Il était temps, plus que temps, de présenter le livre en français dans sa version originale, celle du Lippincott's Monthly Magazine, avant les coupes subies par le roman - le monde anglophone a fait aussi cette révision.
L'occasion pour Christine Jeanney de reprendre entièrement un récit universel, et l'aiguiser pour la langue d'aujourd'hui, en exclusivité pour publie.net. FB
L'art n'a pas à être moral, l'artiste n'a pas à s'occuper des conséquences sociales de son chemin vers le beau. Oscar Wilde y laissera la vie. Aura de scandale qui le poursuit toujours. Paru en 1891 dans le Lippincott's Monthly Magazine, c'est une version épurée par la morale d'époque qui paraît en roman, et qui sera traduite en français dès 1895. Il était temps de rebattre les cartes. Un roman du désir.
Mais avant tout un conte fantastique, et qui fait mal: le portrait que réalise du jeune Dorian Gray le peintre Basil Hallward serait un tel idéal de la beauté que le tableau devient insupportable à celui qui en fut le modèle. Et s'il était possible que ce soit le tableau qui vieillisse, et que lui, Dorian Gray, garde à jamais ce visage tel qu'il a été transcendé et fixé ? L'incroyable puissance du récit tient à ce noeud, jusqu'au coup de couteau final. Il était temps, plus que temps, de présenter le livre en français dans sa version originale, celle du Lippincott's Monthly Magazine, avant les coupes subies par le roman - le monde anglophone a fait aussi cette révision.
L'occasion pour Christine Jeanney de reprendre entièrement un récit universel, et l'aiguiser pour la langue d'aujourd'hui, en exclusivité pour publie.net. FB
Oscar Wilde
Oscar Wilde est né à Dublin, en Irlande. Son père est chirurgien, sa mère est poétesse et traductrice d'auteurs français (Dumas et Lamartine). Il fait ses études au Trinity College de Dublin puis à Oxford, en Angleterre. Grâce à son élégance et à sa vivacité d'esprit, il devient vite un auteur très apprécié en Grande-Bretagne, mais aussi en France où il est salué par les milieux littéraires. Ses poésies, ses contes, ses histoires, son roman ("Le Portrait de Dorian Gray") et ses pièces de théâtre - dont l'une "Salomé" est écrite en français, est créée par Sarah Bernhardt - assurent son succès. Il est alors reconnu comme le chef de file de ce que l'on a appelé "le culte esthétique" : extrême raffinement, amour exclusif des belles choses, attitude détachée. Mais sa vie bascule en 1895 ; lorsqu'il est condamné à deux ans de travaux forcés dans une Angleterre victorienne très puritaine. Refusant de fuir, il purge sa peine et sort brisé du bagne. Il est désormais un homme ruiné, exclu de la société. Il finit misérablement sa vie à Paris où il meurt le 30 novembre 1900, à 46 ans d'une méningite. Ses derniers mots, dans une chambre d'hôtel au décor miteux (hôtel d'Alsace, 13, rue des Beaux-Arts à Paris) auraient été : "Ou c'est ce papier peint qui disparaît, ou c'est moi".
Le Fantôme de Canterville
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