Le plus tard possible
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages216
- FormatePub
- ISBN2-234-06852-5
- EAN9782234068520
- Date de parution08/01/2003
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille205 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurStock
Résumé
« Deux êtres chers, coup sur coup, un jour m'ont quitté. Anna ma mère, puis son fils adoré, Alain, mon frère cadet. Étienne, mon père, s'est heureusement aussitôt remis en ménage. C'est ce qu'il avait de mieux à faire. Mon « ménage » à moi, au contraire, a connu le même sort que le Titanic. La vie me rendait à moi-même. Mais « moi-même » n'avait plus guère de sens. La vie me rendait à rien. La mer (la mère) me rejetait sur un rivage sans âme, une espèce de monde lunaire.
Il ne me restait plus, c'était inévitable, qu'à rencontrer un amour impossible. Ce fut Lilah. Qui aimait ailleurs. J'étais désemparé, je fus mélancolique. Que faire ? Écrire un livre. Un réflexe, sans doute. Chaque phrase, alors, repoussait à plus tard le dernier mot. Le fin mot de l'histoire. Le plus loin, le plus tard possible. »Henri Raczymow
Il ne me restait plus, c'était inévitable, qu'à rencontrer un amour impossible. Ce fut Lilah. Qui aimait ailleurs. J'étais désemparé, je fus mélancolique. Que faire ? Écrire un livre. Un réflexe, sans doute. Chaque phrase, alors, repoussait à plus tard le dernier mot. Le fin mot de l'histoire. Le plus loin, le plus tard possible. »Henri Raczymow
« Deux êtres chers, coup sur coup, un jour m'ont quitté. Anna ma mère, puis son fils adoré, Alain, mon frère cadet. Étienne, mon père, s'est heureusement aussitôt remis en ménage. C'est ce qu'il avait de mieux à faire. Mon « ménage » à moi, au contraire, a connu le même sort que le Titanic. La vie me rendait à moi-même. Mais « moi-même » n'avait plus guère de sens. La vie me rendait à rien. La mer (la mère) me rejetait sur un rivage sans âme, une espèce de monde lunaire.
Il ne me restait plus, c'était inévitable, qu'à rencontrer un amour impossible. Ce fut Lilah. Qui aimait ailleurs. J'étais désemparé, je fus mélancolique. Que faire ? Écrire un livre. Un réflexe, sans doute. Chaque phrase, alors, repoussait à plus tard le dernier mot. Le fin mot de l'histoire. Le plus loin, le plus tard possible. »Henri Raczymow
Il ne me restait plus, c'était inévitable, qu'à rencontrer un amour impossible. Ce fut Lilah. Qui aimait ailleurs. J'étais désemparé, je fus mélancolique. Que faire ? Écrire un livre. Un réflexe, sans doute. Chaque phrase, alors, repoussait à plus tard le dernier mot. Le fin mot de l'histoire. Le plus loin, le plus tard possible. »Henri Raczymow