Le Peintre comme modèle. Du Surréalisme à l'extrême contemporain

Par : Adelaide Russo

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  • Nombre de pages304
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-7574-2693-7
  • EAN9782757426937
  • Date de parution08/12/2022
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses Universitaires du Septen...

Résumé

Qu'est-ce que le poète cherche dans la peinture ? « Le peintre se peint lui-même à travers son modèle » déclare Robert Desnos : de même le poète bien souvent découvre ses propres principes esthétiques dans le dialogue qu'il entretient avec l'ouvre visuelle. Ainsi s'engendre une véritable circulation entre les arts, que Le Peintre comme modèle se propose de suivre, depuis le surréalisme jusqu'à nos jours.
Ces effets de miroirs et de réflexivité critique rassemblent ici maints poètes - d'André Breton, Louis Aragon, Philippe Soupault, Michel Leiris, Antonin Artaud, André Pieyre de Mandiargues, Georges Limbour à Francis Ponge, Bernard Noël, Michel Deguy, Bernard Vargaftig ou Jean-Marie Gleize -, sculpteurs, peintres et plasticiens - Giacometti et Fenosa, Max Ernst et John Heartfield, André Masson et Bona de Mandiargues...
- dont l'ouvre dessine la traversée du siècle. En se fondant sur les principes d'Hubert Damisch, Adelaide Russo montre aussi combien, en retour, les chefs d'ouvres de la peinture, de Paolo Uccello ou William Blake, à Picasso, Derain, Klee ou Miró acquièrent dans les textes poétiques et critiques qui les disent, une nouvelle visibilité.
Qu'est-ce que le poète cherche dans la peinture ? « Le peintre se peint lui-même à travers son modèle » déclare Robert Desnos : de même le poète bien souvent découvre ses propres principes esthétiques dans le dialogue qu'il entretient avec l'ouvre visuelle. Ainsi s'engendre une véritable circulation entre les arts, que Le Peintre comme modèle se propose de suivre, depuis le surréalisme jusqu'à nos jours.
Ces effets de miroirs et de réflexivité critique rassemblent ici maints poètes - d'André Breton, Louis Aragon, Philippe Soupault, Michel Leiris, Antonin Artaud, André Pieyre de Mandiargues, Georges Limbour à Francis Ponge, Bernard Noël, Michel Deguy, Bernard Vargaftig ou Jean-Marie Gleize -, sculpteurs, peintres et plasticiens - Giacometti et Fenosa, Max Ernst et John Heartfield, André Masson et Bona de Mandiargues...
- dont l'ouvre dessine la traversée du siècle. En se fondant sur les principes d'Hubert Damisch, Adelaide Russo montre aussi combien, en retour, les chefs d'ouvres de la peinture, de Paolo Uccello ou William Blake, à Picasso, Derain, Klee ou Miró acquièrent dans les textes poétiques et critiques qui les disent, une nouvelle visibilité.