Le partenariat euro-méditerranéen. Contribution au développement du Maghreb, le cas du Maroc
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages310
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-45137-7
- EAN9782296451377
- Date de parution01/01/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La Méditerranée est plus que jamais un lieu propice à la réflexion qui soulève des interrogations redoutables quant à son avenir. Elle est, certes, une aire d'interdépendance culturelle et économique, mais elle se caractérise surtout par des disparités politiques, économiques et sociales. La situation préoccupante et l'importance stratégique des pays du Sud et de l'Est de la Méditerranée sont à l'origine du processus dit de Barcelone, issu de la Conférence qui s'y est tenue en novembre 1995.
Le Partenariat institué à cette occasion était clairement une initiative intéressante, audacieuse et ambitieuse, visant à favoriser la coexistence pacifique dans cette partie du monde, des rapports de coopération et de sécurité stables, en vue d'améliorer les conditions socio-économiques des peuples qui y vivent. Quinze ans après son lancement, le bilan du Partenariat euro-méditerranéen est mitigé : d'un côté, des réalisations concrètes ont été accomplies ; mais, de l'autre, de nombreuses faiblesses ont provoqué insatisfactions et déceptions.
L'accord sur ce constat est un atout en vue de permettre une refonte profonde du Partenariat qui constitue un catalyseur fondamental à travers lequel il incombe logiquement aux pays de la rive Sud de réunir les conditions préalables nécessaires au développement. A ce titre, l'intégration Sud-Sud et en particulier la construction d'une Union maghrébine s'imposent avec acuité. Par ailleurs, au sein de chaque pays - c'est le cas du Maroc par exemple -, lutter contre l'injustice, réduire les inégalités et inclure toutes les composantes des sociétés, deviennent une condition de pérennité plutôt qu'une priorité ; condition sine qua non d'un développement durable au profit de toute l'humanité.
Le Partenariat institué à cette occasion était clairement une initiative intéressante, audacieuse et ambitieuse, visant à favoriser la coexistence pacifique dans cette partie du monde, des rapports de coopération et de sécurité stables, en vue d'améliorer les conditions socio-économiques des peuples qui y vivent. Quinze ans après son lancement, le bilan du Partenariat euro-méditerranéen est mitigé : d'un côté, des réalisations concrètes ont été accomplies ; mais, de l'autre, de nombreuses faiblesses ont provoqué insatisfactions et déceptions.
L'accord sur ce constat est un atout en vue de permettre une refonte profonde du Partenariat qui constitue un catalyseur fondamental à travers lequel il incombe logiquement aux pays de la rive Sud de réunir les conditions préalables nécessaires au développement. A ce titre, l'intégration Sud-Sud et en particulier la construction d'une Union maghrébine s'imposent avec acuité. Par ailleurs, au sein de chaque pays - c'est le cas du Maroc par exemple -, lutter contre l'injustice, réduire les inégalités et inclure toutes les composantes des sociétés, deviennent une condition de pérennité plutôt qu'une priorité ; condition sine qua non d'un développement durable au profit de toute l'humanité.
La Méditerranée est plus que jamais un lieu propice à la réflexion qui soulève des interrogations redoutables quant à son avenir. Elle est, certes, une aire d'interdépendance culturelle et économique, mais elle se caractérise surtout par des disparités politiques, économiques et sociales. La situation préoccupante et l'importance stratégique des pays du Sud et de l'Est de la Méditerranée sont à l'origine du processus dit de Barcelone, issu de la Conférence qui s'y est tenue en novembre 1995.
Le Partenariat institué à cette occasion était clairement une initiative intéressante, audacieuse et ambitieuse, visant à favoriser la coexistence pacifique dans cette partie du monde, des rapports de coopération et de sécurité stables, en vue d'améliorer les conditions socio-économiques des peuples qui y vivent. Quinze ans après son lancement, le bilan du Partenariat euro-méditerranéen est mitigé : d'un côté, des réalisations concrètes ont été accomplies ; mais, de l'autre, de nombreuses faiblesses ont provoqué insatisfactions et déceptions.
L'accord sur ce constat est un atout en vue de permettre une refonte profonde du Partenariat qui constitue un catalyseur fondamental à travers lequel il incombe logiquement aux pays de la rive Sud de réunir les conditions préalables nécessaires au développement. A ce titre, l'intégration Sud-Sud et en particulier la construction d'une Union maghrébine s'imposent avec acuité. Par ailleurs, au sein de chaque pays - c'est le cas du Maroc par exemple -, lutter contre l'injustice, réduire les inégalités et inclure toutes les composantes des sociétés, deviennent une condition de pérennité plutôt qu'une priorité ; condition sine qua non d'un développement durable au profit de toute l'humanité.
Le Partenariat institué à cette occasion était clairement une initiative intéressante, audacieuse et ambitieuse, visant à favoriser la coexistence pacifique dans cette partie du monde, des rapports de coopération et de sécurité stables, en vue d'améliorer les conditions socio-économiques des peuples qui y vivent. Quinze ans après son lancement, le bilan du Partenariat euro-méditerranéen est mitigé : d'un côté, des réalisations concrètes ont été accomplies ; mais, de l'autre, de nombreuses faiblesses ont provoqué insatisfactions et déceptions.
L'accord sur ce constat est un atout en vue de permettre une refonte profonde du Partenariat qui constitue un catalyseur fondamental à travers lequel il incombe logiquement aux pays de la rive Sud de réunir les conditions préalables nécessaires au développement. A ce titre, l'intégration Sud-Sud et en particulier la construction d'une Union maghrébine s'imposent avec acuité. Par ailleurs, au sein de chaque pays - c'est le cas du Maroc par exemple -, lutter contre l'injustice, réduire les inégalités et inclure toutes les composantes des sociétés, deviennent une condition de pérennité plutôt qu'une priorité ; condition sine qua non d'un développement durable au profit de toute l'humanité.