Le partenariat et la « relance » des Zep

Par : Françoise Lorcerie
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  • Nombre de pages118
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-8218-3014-1
  • EAN9782821830141
  • Date de parution09/01/2014
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurInstitut de recherches et d’étud...

Résumé

Les zones d'éducation prioritaires (ZEP) ont été instituées dans l'éducation nationale française sous le ministère d'Alain Savary en 1981. Le modèle était importé d'Angleterre. Il consistait à susciter des dynamiques nouvelles autour des établissements scolaires des quartiers désignés comme « difficiles » (sur des critères socio-scolaires qui incluaient alors la proportion d'enfants d'immigrés), en associant dans des projets éducatifs concertés un ensemble d'opérateurs extérieurs à l'école, reconnus comme « partenaires » : membres d'associations, travailleurs sociaux, équipements socio-culturels, habitants...
À l'époque cette politique était surtout incitative. La politique de la ville, structurée en 1990, a d'emblée compris une composante éducative qui a déterminé la « relance » des ZEP. Il s'agissait de reprendre l'orientation initiale (partenariats éducatifs, projets) en la renforçant par des dispositifs de discussion, de financement, de suivi. Comment l'institution scolaire s'est-elle adaptée au nouveau jeu des ressources et des contraintes auquel elle était invitée ? Cette question générale a été à l'origine de l'étude dont on trouvera ici la première partie.
Les zones d'éducation prioritaires (ZEP) ont été instituées dans l'éducation nationale française sous le ministère d'Alain Savary en 1981. Le modèle était importé d'Angleterre. Il consistait à susciter des dynamiques nouvelles autour des établissements scolaires des quartiers désignés comme « difficiles » (sur des critères socio-scolaires qui incluaient alors la proportion d'enfants d'immigrés), en associant dans des projets éducatifs concertés un ensemble d'opérateurs extérieurs à l'école, reconnus comme « partenaires » : membres d'associations, travailleurs sociaux, équipements socio-culturels, habitants...
À l'époque cette politique était surtout incitative. La politique de la ville, structurée en 1990, a d'emblée compris une composante éducative qui a déterminé la « relance » des ZEP. Il s'agissait de reprendre l'orientation initiale (partenariats éducatifs, projets) en la renforçant par des dispositifs de discussion, de financement, de suivi. Comment l'institution scolaire s'est-elle adaptée au nouveau jeu des ressources et des contraintes auquel elle était invitée ? Cette question générale a été à l'origine de l'étude dont on trouvera ici la première partie.