Le papier peint jaune
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- FormatMP3
- ISBN332-81-400-2407-4
- EAN3328140024074
- Date de parution12/03/2020
- Protection num.pas de protection
- Taille64 Mo
- Infos supplémentairesaudio
- ÉditeurDES FEMMES-ANTOINETTE FOUQUE
Résumé
Cloîtrée dans une maison de campagne isolée et tenue à l'écart de toute activité par son mari médecin, une jeune mère dépressive après la naissance de leur enfant brave en secret l'interdiction qu'il lui pose d'écrire. Désouvrée, elle sombre dans la fascination pour l'affreux papier peint de la chambre à coucher. Elle finit par y voir, en miroir, une femme séquestrée derrière les arabesques.
"Pendant longtemps, je n'ai pas compris ce qu'était cette forme dérobée derrière le motif, mais maintenant, je suis certaine que c'est une femme.
À la lumière du jour, elle est calme, immobile. J'imagine que c'est le motif qui la bride. C'est si troublant. Et je m'y absorbe des heures. Parfois, je me dis qu'elles sont des multitudes, parfois qu'elle est seule. Elle fait le tour en rampant à une vitesse folle, ébranlant chaque motif. Elle s'immobilise dans les zones de lumière et, dans les zones d'ombre, elle s'agrippe aux barreaux qu'elle secoue avec violence." C.
P. G.
À la lumière du jour, elle est calme, immobile. J'imagine que c'est le motif qui la bride. C'est si troublant. Et je m'y absorbe des heures. Parfois, je me dis qu'elles sont des multitudes, parfois qu'elle est seule. Elle fait le tour en rampant à une vitesse folle, ébranlant chaque motif. Elle s'immobilise dans les zones de lumière et, dans les zones d'ombre, elle s'agrippe aux barreaux qu'elle secoue avec violence." C.
P. G.
Cloîtrée dans une maison de campagne isolée et tenue à l'écart de toute activité par son mari médecin, une jeune mère dépressive après la naissance de leur enfant brave en secret l'interdiction qu'il lui pose d'écrire. Désouvrée, elle sombre dans la fascination pour l'affreux papier peint de la chambre à coucher. Elle finit par y voir, en miroir, une femme séquestrée derrière les arabesques.
"Pendant longtemps, je n'ai pas compris ce qu'était cette forme dérobée derrière le motif, mais maintenant, je suis certaine que c'est une femme.
À la lumière du jour, elle est calme, immobile. J'imagine que c'est le motif qui la bride. C'est si troublant. Et je m'y absorbe des heures. Parfois, je me dis qu'elles sont des multitudes, parfois qu'elle est seule. Elle fait le tour en rampant à une vitesse folle, ébranlant chaque motif. Elle s'immobilise dans les zones de lumière et, dans les zones d'ombre, elle s'agrippe aux barreaux qu'elle secoue avec violence." C.
P. G.
À la lumière du jour, elle est calme, immobile. J'imagine que c'est le motif qui la bride. C'est si troublant. Et je m'y absorbe des heures. Parfois, je me dis qu'elles sont des multitudes, parfois qu'elle est seule. Elle fait le tour en rampant à une vitesse folle, ébranlant chaque motif. Elle s'immobilise dans les zones de lumière et, dans les zones d'ombre, elle s'agrippe aux barreaux qu'elle secoue avec violence." C.
P. G.