Le noir et la culture africaine au Brésil
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- Nombre de pages270
- FormatPDF
- ISBN2-296-32387-1
- EAN9782296323872
- Date de parution01/05/2003
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Ce livre tisse son unité autour de l'identité noire et de la part de l'esclavage dans la formation et la conscience de cette identité. La race continue à déterminer les destins personnels lorsque les égalités formelles conquises se contentent de " masquer " la reproduction des inégalités sociales. " Afro-descendants "," Afro-Brésiliens ", " crioulos ", " mulatos ", " pardos " ou d'autres noms incertains manifestent les limites d'une définition sans nuance de la culture africaine au Brésil.
La reconnaissance d'une identité noire africaine chez les Afro-Brésiliens est due, à l'origine, à une intelligentsia qui cherchait ses références. Mais seuls les gestes ancestraux et l'imagination peuvent donner qualité à des héritages désirés, acceptés. Le temps amasse sans vraiment effacer, recréant l'éternelle jeunesse de cultures nouvelles. En silence, les Brésiliens refont ceux des gestes ancestraux qui sont restés leurs.
La vraie culture n'a pas besoin de s'autoproclamer culture. Les cultures africaines survivent dans les richesses de leurs évolutions. Elles ne sont pas des enjeux mais des valeurs. Alors l'exil brésilien de millions d'esclaves n'est-il pas devenu " la vraie demeure " des Afro-descendants ? Ecrit par les meilleurs spécialistes, un très beau livre, à déguster en pleine lumière, bercé par l'air atlantique ou la chaleur aride du sertâo, comme la rumeur d'un Carnaval.
La reconnaissance d'une identité noire africaine chez les Afro-Brésiliens est due, à l'origine, à une intelligentsia qui cherchait ses références. Mais seuls les gestes ancestraux et l'imagination peuvent donner qualité à des héritages désirés, acceptés. Le temps amasse sans vraiment effacer, recréant l'éternelle jeunesse de cultures nouvelles. En silence, les Brésiliens refont ceux des gestes ancestraux qui sont restés leurs.
La vraie culture n'a pas besoin de s'autoproclamer culture. Les cultures africaines survivent dans les richesses de leurs évolutions. Elles ne sont pas des enjeux mais des valeurs. Alors l'exil brésilien de millions d'esclaves n'est-il pas devenu " la vraie demeure " des Afro-descendants ? Ecrit par les meilleurs spécialistes, un très beau livre, à déguster en pleine lumière, bercé par l'air atlantique ou la chaleur aride du sertâo, comme la rumeur d'un Carnaval.
Ce livre tisse son unité autour de l'identité noire et de la part de l'esclavage dans la formation et la conscience de cette identité. La race continue à déterminer les destins personnels lorsque les égalités formelles conquises se contentent de " masquer " la reproduction des inégalités sociales. " Afro-descendants "," Afro-Brésiliens ", " crioulos ", " mulatos ", " pardos " ou d'autres noms incertains manifestent les limites d'une définition sans nuance de la culture africaine au Brésil.
La reconnaissance d'une identité noire africaine chez les Afro-Brésiliens est due, à l'origine, à une intelligentsia qui cherchait ses références. Mais seuls les gestes ancestraux et l'imagination peuvent donner qualité à des héritages désirés, acceptés. Le temps amasse sans vraiment effacer, recréant l'éternelle jeunesse de cultures nouvelles. En silence, les Brésiliens refont ceux des gestes ancestraux qui sont restés leurs.
La vraie culture n'a pas besoin de s'autoproclamer culture. Les cultures africaines survivent dans les richesses de leurs évolutions. Elles ne sont pas des enjeux mais des valeurs. Alors l'exil brésilien de millions d'esclaves n'est-il pas devenu " la vraie demeure " des Afro-descendants ? Ecrit par les meilleurs spécialistes, un très beau livre, à déguster en pleine lumière, bercé par l'air atlantique ou la chaleur aride du sertâo, comme la rumeur d'un Carnaval.
La reconnaissance d'une identité noire africaine chez les Afro-Brésiliens est due, à l'origine, à une intelligentsia qui cherchait ses références. Mais seuls les gestes ancestraux et l'imagination peuvent donner qualité à des héritages désirés, acceptés. Le temps amasse sans vraiment effacer, recréant l'éternelle jeunesse de cultures nouvelles. En silence, les Brésiliens refont ceux des gestes ancestraux qui sont restés leurs.
La vraie culture n'a pas besoin de s'autoproclamer culture. Les cultures africaines survivent dans les richesses de leurs évolutions. Elles ne sont pas des enjeux mais des valeurs. Alors l'exil brésilien de millions d'esclaves n'est-il pas devenu " la vraie demeure " des Afro-descendants ? Ecrit par les meilleurs spécialistes, un très beau livre, à déguster en pleine lumière, bercé par l'air atlantique ou la chaleur aride du sertâo, comme la rumeur d'un Carnaval.