Le multiculturalisme comme religion politique

Par : , , BOCK-COTE MATHIEU

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • FormatePub
  • ISBN978-2-204-11092-1
  • EAN9782204110921
  • Date de parution17/06/2016
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille471 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurEditions du Cerf

Résumé

Le multiculturalisme serait l'alpha et l'oméga de la démocratie, le seul visage possible de la modernité. Mais comment en sommes nous arrivés là ? Comment des intellectuels ont imposé à la France et aux nations occidentales la notion d'« identités particulières », et comment lui ont-ils retiré celle d'« identité commune » ? Qu'est-ce qui se cache derrière le culte de la diversité ?Pour Mathieu Bock-Côté, mai 1968 marque le début d'une révolution inventée par une gauche métamorphosée.
Constatant l'effondrement du marxisme, elle a inventé l'égalitarisme identitaire. Critique de l'Occident, déconstruction des traditions, invention de l'antiracisme, telles ont été les étapes d'un redoutable projet : laconfiscation de la démocratie par une minorité. S'inspirant des oeuvres des plus grands penseurs de la modernité, de Tocqueville à Muray, en passant par Marcel Gauchet, Raymond Aron ou encore Jean-Pierre Le Goff, revenant sur cinquante ans de vie intellectuelle, de la faillite du communisme à la création de la contre-culture, en passant par l'avènement du droit de l'hommismeet de l'idéologie antidiscriminatoire, Mathieu Bock-Côté propose le décryptage lucide et sévère d'un autoritarisme qui ne dit pas son nom.
Sociologue (Ph. D), chroniqueur, figure de la vie intellectuelle québécoise, Mathieu Bock-Côté collabore au Débat, à Commentaire et au Figaro. Il est l'auteur de plusieurs livres, notamment Exercices politiques (2013), Fin de cycle (2012) et La dénationalisation tranquille (2007).
Le multiculturalisme serait l'alpha et l'oméga de la démocratie, le seul visage possible de la modernité. Mais comment en sommes nous arrivés là ? Comment des intellectuels ont imposé à la France et aux nations occidentales la notion d'« identités particulières », et comment lui ont-ils retiré celle d'« identité commune » ? Qu'est-ce qui se cache derrière le culte de la diversité ?Pour Mathieu Bock-Côté, mai 1968 marque le début d'une révolution inventée par une gauche métamorphosée.
Constatant l'effondrement du marxisme, elle a inventé l'égalitarisme identitaire. Critique de l'Occident, déconstruction des traditions, invention de l'antiracisme, telles ont été les étapes d'un redoutable projet : laconfiscation de la démocratie par une minorité. S'inspirant des oeuvres des plus grands penseurs de la modernité, de Tocqueville à Muray, en passant par Marcel Gauchet, Raymond Aron ou encore Jean-Pierre Le Goff, revenant sur cinquante ans de vie intellectuelle, de la faillite du communisme à la création de la contre-culture, en passant par l'avènement du droit de l'hommismeet de l'idéologie antidiscriminatoire, Mathieu Bock-Côté propose le décryptage lucide et sévère d'un autoritarisme qui ne dit pas son nom.
Sociologue (Ph. D), chroniqueur, figure de la vie intellectuelle québécoise, Mathieu Bock-Côté collabore au Débat, à Commentaire et au Figaro. Il est l'auteur de plusieurs livres, notamment Exercices politiques (2013), Fin de cycle (2012) et La dénationalisation tranquille (2007).