Le mouvement des idées au XVIIe siècle (8). Richard Simon, 1638-1712. Étude bio-bibliographique
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages264
- FormatPDF
- ISBN2-7059-3690-4
- EAN9782705936907
- Date de parution01/01/1974
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille65 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurPresses universitaires de France...
Résumé
Richard Simon est le seul auteur cité dans la préface de la traduction ocuménique de la Bible. Qu'est-il donc pour mériter ce traitement de choix ?
Un homme d'Eglise qui, sous le règne de Louis XIV, au temps où Bossuet régentait la théologie, tenta d'introduire les méthodes scientifiques dans l'étude de la Bible.
Comme tous les précurseurs, R. Simon fut contredit, persécuté, finalement réduit au silence.
De nos jours, ses idées se sont imposées.
Pourtant, il est encore un signe de contradiction.
Considéré par les uns comme un initiateur de génie, victime du sectarisme et de l'incompétence, il est pour d'autres un érudit quelconque, dont les défauts, l'âpreté du caractère, l'incertitude même des méthodes, expliquent les échecs. Peut-on encore lui appliquer le titre de « père de la critique » ? Le procès méritait d'être repris. Un auteur, spécialiste lui-même des études bibliques, présente un travail concis, documenté, qui n'est ni un panégyrique ni un pamphlet, mais l'effort sérieux de quelqu'un qui admire Richard Simon sans en dissimuler les faiblesses.
Considéré par les uns comme un initiateur de génie, victime du sectarisme et de l'incompétence, il est pour d'autres un érudit quelconque, dont les défauts, l'âpreté du caractère, l'incertitude même des méthodes, expliquent les échecs. Peut-on encore lui appliquer le titre de « père de la critique » ? Le procès méritait d'être repris. Un auteur, spécialiste lui-même des études bibliques, présente un travail concis, documenté, qui n'est ni un panégyrique ni un pamphlet, mais l'effort sérieux de quelqu'un qui admire Richard Simon sans en dissimuler les faiblesses.
Richard Simon est le seul auteur cité dans la préface de la traduction ocuménique de la Bible. Qu'est-il donc pour mériter ce traitement de choix ?
Un homme d'Eglise qui, sous le règne de Louis XIV, au temps où Bossuet régentait la théologie, tenta d'introduire les méthodes scientifiques dans l'étude de la Bible.
Comme tous les précurseurs, R. Simon fut contredit, persécuté, finalement réduit au silence.
De nos jours, ses idées se sont imposées.
Pourtant, il est encore un signe de contradiction.
Considéré par les uns comme un initiateur de génie, victime du sectarisme et de l'incompétence, il est pour d'autres un érudit quelconque, dont les défauts, l'âpreté du caractère, l'incertitude même des méthodes, expliquent les échecs. Peut-on encore lui appliquer le titre de « père de la critique » ? Le procès méritait d'être repris. Un auteur, spécialiste lui-même des études bibliques, présente un travail concis, documenté, qui n'est ni un panégyrique ni un pamphlet, mais l'effort sérieux de quelqu'un qui admire Richard Simon sans en dissimuler les faiblesses.
Considéré par les uns comme un initiateur de génie, victime du sectarisme et de l'incompétence, il est pour d'autres un érudit quelconque, dont les défauts, l'âpreté du caractère, l'incertitude même des méthodes, expliquent les échecs. Peut-on encore lui appliquer le titre de « père de la critique » ? Le procès méritait d'être repris. Un auteur, spécialiste lui-même des études bibliques, présente un travail concis, documenté, qui n'est ni un panégyrique ni un pamphlet, mais l'effort sérieux de quelqu'un qui admire Richard Simon sans en dissimuler les faiblesses.